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Je suis un homme. Un homme dont la vie ressemblerait plutôt à une courbe de température dans une chambre d'hôpital ou à un ascenseur qui n'irait pas nécessairement à l'étage demandé.
Michel Polnareff
On ira tous au Paradis.
La beauté reste très subjective, étant essentiellement dans le regard de l'autre. Cela dit, j'avoue que j'aime bien qu'on m'envie. C'est toujours agréable de voir les hommes admirer la femme qui vous accompagne.
Je ne vis qu'à travers les femmes. Les femmes ont un rôle absolument étonnant. Elles commencent par nous porter, pour ensuite nous supporter. Depuis toujours elles sont ma source d'inspiration.
L'humanité est divisée en deux : les hommes et les femmes. Totalement opposés, ils essaient désespérément de se comprendre. C'est frustrant, cette incompréhension entre les deux : c'est une guerre sans enjeux dans laquelle il n'y a jamais que des vaincus.
On est toujours seul face au malheur. Il n'y a que le bonheur qui se partage. Le bonheur et le rêve.
Je suis un homme. Je suis un homme. Quoi de plus naturel en somme.
On me dit mystérieux, énigmatique. Fou. Je suis juste moi, simplement. J'ai toujours mis un point d'honneur à me rester fidèle, à ne pas faire semblant. Être intègre, altruiste et généreux. Sincère.
Ta robe de mariée est faite pour épouser mes regrets.
L'amour est la chose la plus importante de la terre.
Les femmes ont un rôle absolument étonnant. Elles commencent par nous porter, pour ensuite nous supporter.
Aujourd'hui, j'écris un livre. Ça me changera de ceux qui écrivent sur moi des bouquins qui racontent des vies que je n'ai pas vécues, des morts que je n'ai pas eues, des films que je n'ai pas tournés, des musiques que je n'ai pas écrites, et des chansons que je n'ai jamais chantées.
L'homme ne progresse que dans le regard de la femme.
Love me, please love me Je suis fou de vous Pourquoi vous moquez-vous chaque jour De mon pauvre amour ?
Le passé, c'est quelque chose qu'on subit. Ça me pèse de ressasser les moments qui appartiennent à la mémoire.
Très tôt, les femmes sont devenues essentielles dans ma vie. Elles le sont toujours même si, maintenant, ça se conjugue plus au singulier qu'au pluriel.
A l'époque, je ne savais pas combien la passion était ennemie de l'amour. Je prenais même la passion pour de l'amour. Je pensais que les belles histoires n'avaient vraiment de valeur que lorsqu'elles n'étaient pas possibles ; que le quotidien et son train-train tuent vraiment l'amour. Je ne croyais l'amour possible que dans la passion et ses drames.
J'aime bien sentir que j'ai un pouvoir de séduction sur les femmes, cela me rassure et m'aide à conjurer la timidité de mes premières années. Car on ne peut séduire que si on est bien dans sa peau.
J'aurais pu rester seul, toute ma vie, devant un piano. J'ai fait ce métier pour les femmes… Parce que je les aime et veux m'en faire aimer. Seule, la réussite m'a permis d'apaiser mes relations avec elles.
Penser au malheur des autres peut aider à supporter ses peines. J'avais beaucoup de compassion pour le peuple japonais qui m'a toujours donné beaucoup d'amour. Au pays du Soleil-Levant, je m'étais senti chez moi.
C'est très présomptueux que de penser qu'on est en possession de sa propre vie, On en est que le locataire, et un jour il faut rendre les clefs.
Ma mère était une femme absolument remarquable. La première femme de ma vie.
J'adore les enfants car ils représentent l'innocence, la vérité, la pureté, la logique.
Est-ce que ça vaut le coup d'être immortel sur une Terre qui, pour le coup, elle, risque de ne pas l'être ?
On ne peut pas vivre toute sa vie avec la même tête si elle ne nous convient pas. Il ne faut pas hésiter à improviser, imaginer et se transformer complètement.