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En fin de compte tout est littérature. La vie, l'amour, la mort. Simulacre et dérision.
Monique Bosco
L'anglais. Langue des affaires. Du grand commerce. De la richesse. Des notables. Le français, c'est bon pour le négoce, les petits trafics, les combines politiques.
Moins on aime, moins on souffre.
Comme elle est longue à vivre, la quête de l'existence, quand on n'a pas de dieu qui la dirige.
La vraie richesse est discrète.
Certaines passions demeurent à jamais insondables.
L'amour. Cette sanglante parodie de la vie, de la mort.
Continue, travaille, apprends. Et prends ton temps. La vie est si longue.
Vie de famille ou de bureau, on se hait mais on ne se quitte pas.
Extrême cruauté de notre société. On accepte seulement les "couples" comme dans l'Arche de Noé. Malheur à qui veut aller son chemin, solitaire.
On meurt seul. On vit seul. On rêve à une vie partagée. Le rêve est bon à cela. Lui seul.
J'ai mal, donc je vis.