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Dans le panthéon de mes valeurs, il y a un mot très important, c'est responsabilité. Si j'ai perdu, c'est ma responsabilité.
Nicolas Sarkozy
Je ne veux pas de l'ordre des mafias et je ne veux pas plus de l'ordre des barbus. Je veux de l'ordre de la République.
On a expliqué que j'étais mouillé dans l'affaire Bettencourt, que j'avais extorqué de l'argent à une vieille dame. A l'arrivée, un non-lieu. Qui me rendra mon honneur ?
Casse-toi alors, pauvre con.
Il n'y a pas d'accord entre les Républicains et les socialistes, il n'y aura pas de combines car ce n'est pas comme ça que ça se passe, "passe-moi la salade, je t'envoie la rhubarbe".
On a hâte que Barack Obama se mette au travail et qu'on change le monde avec lui.
J'ai le droit de parler du handicap, ce n'est pas le monopole qui est le vôtre, j'ai le droit d'être sincère dans mon engagement, et d'être bouleversé par la situation d'enfants qui aimeraient être scolarisés.
A l'immigration subie, je préfère l'immigration choisie.
Il faut nettoyer certaines cités. Et quand je dis qu'il faut les nettoyer au Karcher, cela veut dire qu'il faut les nettoyer en profondeur.
Ce qui fait le sel de la vie, c'est de savoir que l'on va mourir et ce qui fait le sel de la politique c'est de savoir que l'on va partir.
Le travail libère l'individu. Le travail est une valeur de libération.
S'il suffisait d'augmenter les impôts pour qu'il y ait de la justice sociale, depuis des années qu'on augmente les impôts gauche et droite confondues, on devrait être le pays le plus juste au monde !
Là où vous voyez des critiques, je ne vois que des convictions.
Allié ne veut pas dire rallié.
Si la vérité blesse, c'est la faute de la vérité.
C'est la vie, la concurrence. Je vais même vous dire mieux, moi, j'ai la concurrence dans les veines.
Je n'aime pas les mots qu'on jette à la figure qui sont si violents alors que la France a besoin d'apaisement et de rassemblement.
Dans le fond, quel peu de respect on a pour ce que l'on fait si on le propose gratuitement ?
L'idéologie de mai 68 sera morte le jour où dans la société on osera rappeler chacun à ses devoirs.
Ce qui fait la crédibilité d'une ambition, c'est le prix personnel qu'on est prêt à payer.
Ce n'est pas Hollande que le PS voulait comme candidat, il voulait DSK, Dominique Strauss-Kahn.
La crise morale française porte un nom : c'est la crise du travail.
Pour être président de la République, il faut être calme.
Pour ne pas provoquer, il faudrait ne rien dire. Je ne me suis pas engagé dans la politique pour ne rien dire.
Ils ont voulu que l'opposition puisse exister. Je trouve que c'est une réaction saine, et je dirais même utile.
Le désert, c'est génial à traverser : on ne voit que les gens que vous aimez et qui vous aiment vraiment.
Cela fait quatre ans que je suis ministre et candidat, qu'est-ce que cela changerait si je l'étais un mois de plus ?
Tout est complexe entre un homme et une femme, mais quand tout est public, alors les petits événements de la vie quotidienne deviennent des monuments.
Vous savez quelle est la caractéristique d'un être humain ? Qu'est-ce qui fait la dignité d'un être humain ? est que justement on est faible et qu'on fait des erreurs. Et qu'on essaie de se trimballer avec toutes nos faiblesses, toutes nos erreurs, pour donner un petit sens à nos vies.
Mais ce qui compte, ce n'est pas de faire des erreurs, on en fait tous. Ce qui compte c'est le processus de renaissance. C'est ce que Dostoïevski dit dans Crimes et Châtiments avec Raskolnikov : Ainsi commença la renaissance, lente mais certaine, de Raskolnikov. Eh bien c'est ça, ce à quoi je pense.
Ce n'est pas parce qu'on ne dit pas tout qu'on renonce.
Si on veut augmenter les impôts dans notre pays, il y a tellement de candidats pour les augmenter, vous aurez l'embarras du choix aux prochaines élections ! Moi, j'ai été élu pour réconcilier la France avec l'entreprise et avec l'usine.
Les salariés non grévistes qui travaillent sur une autre ligne pourront aller travailler sur une ligne en grève.
Ce grand comédien était un humaniste gourmand et un mémorialiste inépuisable, une sentinelle de la nuit, de la fête et de la poésie.
Les socialistes proposent de travailler moins. Moi, je propose de gagner plus.
Je préfère risquer en osant, que regretter de ne pas avoir su saisir l'occasion qui se présentait.
La culture c'est la réponse à la crise
J'abhore le racisme. Je déteste la xénophobie. Je crois dans la force et la richesse de la diversité.
Je ne pense pas que les Français veulent un Président glacé et qui devient glaçant. Il faut mettre de la vie au plus haut niveau du pouvoir.
Plus on manifeste un désaccord sur le fond, plus on doit être attentif à la forme.
Dans 15 jours maximum, il va bien falloir qu'on se rassemble tous pour proposer aux français l'alternance.
Il faut tout faire pour que le travail rapporte davantage que l'assistance.
Tous les soirs, des casseurs occupent la place de la République : qu'est-ce que ce serait si on n'était pas en état d'urgence ?
Nous ne pouvons pas accepter que des gens qui n'ont rien dans le cerveau viennent sur la place de la République donner des leçons à la démocratie française.
A force de décrire une France qui n'existe pas, c'est-à-dire des Français tous égaux, on ne résoud pas les problèmes.
On ne fait rien de grand sans l'unité de la nation. On ne fait rien de grand sans espérance, sans perspective.
Et c'est en pensant à la dignité des personnes que nous affrontons la si délicate question de l'immigration, sujet immense qui demande générosité, respect de la dignité et en même temps prise de responsabilité.
Qu'est-ce qu'un homme qui croit si ce n'est un homme qui espère ?
L'homme ne grandit pas quand la nation décline.
La culture, c'est un peu comme le bonheur, ça se partage.