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Mourir, c'est pas facile.
Nicolas Sarkozy
Nous ne pouvons plus accepter une école où on ne respecte plus rien et où il n'y a plus d'autorité.
Le musée ne doit pas faire peur.
Etre candidat pour le prestige de la fonction ne m'intéresse pas.
Denis Podalydès est un grand acteur, mais pour jouer mon rôle, au point de vue capillaire, ce n'est quand même pas vraiment ça !
La culture n'est pas un supplément d'âme que s'offrirait une société de consommation repue. Elle est notre boussole.
Je veux apporter des réponses, des réponses qu'on ne comprendra pas dans certains cercles dirigeants, des réponses qu'on va regarder avec cette méprisance, cette attitude hautaine.
Je ne suis candidat à rien.
Je ne regrette pas d'avoir supprimé 12 469 postes de policiers. On croulait sous les dettes il fallait faire des économies. Il fallait réduire les effectifs dans la fonction publique. La lutte contre l'insécurité n'est pas une question d'effectifs.
Aller au bout de soi-même, c'est toujours ce que j'ai voulu.
Comment se fait-il que depuis des années qu'on a les 35 heures, pas un seul pays au monde ne nous a imité ? Alors soit on est des génies, soit ce n'est pas sûr qu'on ait raison.
La France n'est jamais aussi prête au sursaut que lorsqu'on la croit sur le déclin.
Si un jour, je devais avoir des responsabilités, l'une des premières choses que je ferais, c'est de supprimer le droit de grâce et l'amnistie.
J'aime la France, j'apprends l'histoire de France, je vis comme un Français, doit se dire celui qui devient français.
Je m'oppose absolument à toute augmentation des impôts.
J'ai toujours rejeté pour ma part le principe d'immigration zéro. Il n'est ni réaliste, ni souhaitable. Appliquer "l'immigration zéro" reviendrait par exemple à interdire les mariages mixtes, ou à fermer totalement nos universités aux étudiants étrangers.
L'école est là pour leur donner les moyens de penser par eux-mêmes, pour leur apprendre à faire la différence entre Madame Bovary et un bon compte-rendu de fait divers dans un journal, entre Antigone et Harry Potter.
On n'a pas été assez ferme sur le respect des devoirs et pas assez généreux sur l'expression des droits.
On a fait du social là où il fallait offrir du travail. On a distribué des subventions là où il fallait donner une formation.
L'épreuve, c'est l'absence, pas la blessure de vanité.
Quand on a le sentiment que le temps est compté, on agit plus et plus vite.
Ma ligne rouge c'est le rassemblement de tous, parce que quand la France est dans la situation où elle est aujourd'hui, [...] nous n'avons pas le droit de nous diviser.
Je n'ai jamais eu de mauvais rapport avec François Hollande, il est rigolo, c'est quelqu'un qui a du talent.
Regarder ces trois demeurés qui vont encore m'attaquer ? Merci bien !
Je suis contre l'égalitarisme, l'assistanat, le nivellement ; pour le mérite, la juste récompense des efforts de chacun, et la promotion sociale.
A chaque époque ses solutions, mais ses solutions fortes, volontaires, déterminées.
Le travail libère, c'est le chômage qui aliène.
Rendre autonomes les universités, c'est faire confiance au monde enseignant.
Nous ne pouvons pas accepter que des lycéens manipulés bloquent des lycées pour protester contre une loi dans laquelle il n'y a rien.
Je propose que tout de suite 10 à 20 % des effectifs des écoles puissent être recrutés hors secteur scolaire, pour que chaque parent soit libre du choix de son école.
L'élection de Monsieur Trump est un défi incontestable pour la France et pour l'Europe.
Il n'est pas de pire risque pour la France, aujourd'hui, que celui qui consisterait à ne pas en prendre.
Travailler plus pour gagner plus.
Désormais, quand il y a une grève en France personne ne s'en aperçoit.
Que celui qui ne prend aucun risque, en réalité, les prend tous.
S'il y a un responsable, c'est moi.
Nous ne pouvons plus accepter des syndicats qui se comportent comme des partis politiques.
Il faut savoir terminer une grève lorsque s'ouvre le temps de la discussion.
Au fond, ce serait une forme d'abandon que de rester spectateur de la situation dans laquelle se trouve la France, devant le délitement du débat politique, et la persistance de divisions si dérisoires au sein de l'opposition.
La république, ce n'est pas la droite, ce n'est pas la gauche, ce sont tous les Français.
Il n'y a pas de fatalité pour celui qui veut bien oser.
Un défi : un islam politique qui agit sous forme de provocations pour tester la résistance de la République.
A tous les expatriés qui sont malheureux de la situation de la France et de leur départ, je veux dire : 'Revenez'.
C'est dire à tous les Français qu'ils sont dans le coup. C'est se libérer de ces appartenances partisanes. Je ne sais pas si j'ai réussi, mais j'aurais essayé.
Et utiliser des mots qui ne sont pas des mots qui blessent, parce que quand on emploie des mots qui blessent, on divise son peuple, alors qu'il faut le rassembler.
On ne dira jamais assez le mal que les 35 heures ont fait à notre pays. Comment peut-on avoir cette idée folle de croire que c'est en travaillant moins que l'on va produire plus de richesses et créer des emplois.
Si nous acceptions le paquet de cigarettes neutre, dans six mois on vous proposera la bouteille de vin neutre et s'en sera fini de nos appellations, et s'en sera fini de nos terroirs, et s'en sera fini de la défense de notre savoir-faire.
Les cigarettes restent en vente mais, au prétexte qu'on met pas de marques, on va moins en vendre ? C'est une plaisanterie ! De mauvais goût de surcroît. Ça peut tuer les voitures. Je propose à madame Touraine de supprimer les marques des voitures.
J'ai sans doute beaucoup de défauts et je ne prétends pas avoir tout bien fait. Mais je n'ai pas menti. Je n'ai pas menti. Qu'est-ce qui reste de l'anaphore, moi président ? Une longue série de mensonges.
Les jours de grève ne seront pas payés. Au bout de huit jours de grève, il y aurait un scrutin à bulletin secret pour déterminer si une majorité des salariés est en faveur de ce conflit ou pas.