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L'hôpital de demain n'existera jamais pour les plus pauvres.
Patrick Pelloux
Nous sommes là pour soigner des gens, pas l'économie.
Bien sûr, les souvenirs sont toujours assaisonnées avec douceur dans la salade composée de nos existences. Ça facilite la digestion des horreurs de nos vies.
Ce soir-là, vous avez eu le bleu des policiers, le blanc des hôpitaux et le rouge des pompiers.
L'hôpital était à genoux, on nous demande d'être debout !
Ce qui est rassurant, c'est qu'un jour ou l'autre, l'épidémie (covid19) va s'arrêter. Donc, on arrêtera de porter des masques. Ça, c'est une certitude.
Il faut bien rire de la mort qui se moque bien de nous enlever la vie.
Il faut porter le masque tout le temps, même dans la rue.
Je ne sais plus si c'est l'amitié qui est la succursale de l'amour ou si l'amour est un salon galant de l'amitié. À eux deux, en tout cas, ils font l'humain.
L'égoïsme de la société a tué l'empathie et les mobilisations solidaires.
Il ne faut pas prendre les vieux pour des vieux ; la vieillesse est une apparence physique sur laquelle le temps a posé ses marques. Comment serons-nous dans quarante ans ?