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Quand il n'y a plus rien à dire, peut-être est-ce l'heure du sourire ?
Patrick Segal
Quand on a besoin d'aimer, on n'a besoin ni de jambes ni de sexe, il n'y a qu'à écouter et laisser faire les gestes et les mots que dicte la tendresse.
Un malade est un coupable qui s'ignore.
Ce n'est pas la porte ouverte qui fait la liberté mais plutôt de savoir pourquoi l'on sort.
C'est au-delà des mots que se font les vraies adhésions.
De quel droit nous traiter comme des prisonniers, alors que nous n'avons rien fait qu'avoir un peu moins de chance que les autres.
Quand le ressort secret des volontés s'est détendu, il ne sert à rien de remonter les mécanismes.
Rien ne se fait sans risques ni périls. Si on ne le sait pas, on peut y laisser son assurance et sa joie de vivre.
Le malade ne guérit pas seulement de soins.