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Le comble de l'avare ? - Offrir son corps à la science pour éviter les frais d'enterrement.
Philippe Héraclès
Le comble du fossoyeur ? - C'est de se creuser la tête.
Le comble du Corse ? - Mettre les cendres du défunt dans un sablier pour le voir enfin travailler.
Le comble de l'aveugle ? - Ne pas se voir mourir.
Le comble du crémier ? - Mourir pour du beurre.
Le comble du poète ? - Se faire dévorer par ses vers.
Le comble du pilote kamikaze ? - Réclamer une prime de risque.
La mort est une fin en soi.
Le comble de l'ivrogne ? - Se faire incinérer pour s'offrir une dernière cuite.
Le comble du menuisier ? - Faire un cercueil avec du bois mort.
Le comble du marin ? - Sombrer dans l'alcoolisme.
Le comble de l'assureur ? - Se voir réclamer le capital-décès d'un assuré contre l'incendie par une veuve dont l'époux vient d'être incinéré.
J'ai tellement horreur des enterrements que, si je le pouvais, je n'irais pas au mien.
Le comble du restaurateur ? - Avoir la dalle en pente.
Le comble de l'odorat ? - Sentir sa fin approcher.
Le comble du Polonais ? - C'est de se faire naturaliser Russe à la veille de mourir en déclarant que cela fera toujours un Russe de moins.
Le comble de l'haltérophile ? - Être un poids mort.
Le comble du croque-mort ? - C'est de manger les restes.
Le comble du pompiste ? - Être enterré en grande pompe.
Le comble du fantôme ? - Décliner de jour en jour et n'être plus que l'ombre de soi-même.
Le comble du malheur ? - Se jeter à l'eau pour noyer son chagrin.