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On ne meurt jamais, on ne fait que changer de nature comme on change de culottes et la fin d'un être est toujours le commencement d'une nouvelle forme de vie.
Pierre Châtillon
A trop frôler un ennemi, on s'expose à l'affection.
Pour la mort comme pour tant d'autres importunités, la première fois est évidemment la plus désagréable.
Le spectacle de la mort, chez les jeunes gens, exalte la passion de vivre.
La personne aimée semble immobile, éternelle sous nos baisers, mais, dès que le temps aux joues gonflées de vent souffle dessus, l'amour s'enfuit dispersé ne laissant au coeur qu'un peu d'odeur et un chagrin inconsolable.