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La décentralisation sera au coeur de l'expérience du gouvernement de la gauche... La République se sera enfin libérée de la monarchie.
Pierre Mauroy
La couleur de mes convictions, c'est mon village, moi je suis un villageois. Jusqu'à l'âge de vingt ans j'étais à la campagne et dans un village d'ouvriers, de sidérurgistes ... alors là j'ai pris conscience qu'il fallait être socialiste.
La nationalisation est une des formes du génie français.
La liberté de la droite, c'est en réalité celle du renard et du poulailler.
Les discours doivent correspondre aux saisons.
La droite et la gauche, ce n'est pas la même chose.
Jospin, c'est le film Good Bye Lenin !... il est totalement décalé.
La crise n'est pas comme une maladie dont ne ne peut sortir : elle est comme une sorte de nouvelle naissance !
Il n'y a pas de métier masculin et de métier féminin.
Les hommes passent avec le reste. Les justes causes, elles, ne meurent pas.
La rigueur, c'est l'austérité plus l'espoir.
La fin de vie je la vois un petit peu comme la mer, comme quelque chose qui s'impose à vous majestueusement avec solennité, beaucoup de force et une très grande beauté.
On est toujours persuadé que ça va être beaucoup plus facile avec la gauche ; que le nouveau président de la République va pouvoir tout régler. Ce n'est pas tout à fait comme cela que ça se passe.
Je me sens proche de ces utopistes qui, à force de croire obstinément à leurs rêves, finissent par leur imposer la réalité.
Je n'oublierai jamais le jour où j'ai vu la mer pour la première fois parce que c'est aussi le jour de ma première révolte. Ma carrière politique, c'est à dire toute ma vie, a commencé là.
Face au chômage, la solution de la sagesse, c'est que les travailleurs travaillent moins.
Ce 17 mai 1940, à l'heure de quitter ma maison et mon village, je n'étais encore qu'un petit garçon insouciant. J'ignorais que mon engagement en politique, au service des hommes, naîtrait sur les routes de l'exode.