Images
Tout est bien qui paraît bien.
Pio Baroja
Quand l'homme se regarde beaucoup lui-même, il en arrive à ne plus savoir quel est son visage et quel est son masque.
L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête.
L'homme : un millimètre au-dessus du singe quand ce n'est pas un centimètre au-dessous du porc.
Dans l'oeuvre toute entière, qui lorsqu'elle vaut quelque chose, est une longue autobiographie, la dissimulation est impossible, car là où l'homme l'a voulu le moins, il s'est révélé.
Instinctivement, lorsqu'on se place devant un photographe, on feint et on se compose le visage, lorsqu'on parle de soi-même, on feint également.