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Ne donne pas à penser, dans tes largesses, que tu aies été gueux.
Proverbe Juifs
Trois choses font connaître l'homme : La bouteille, la bourse et la colère.
Ne dis donc pas : "Je verrai quand j'aurai le loisir." Qui t'a dis que tu en auras ?
Le coeur humain et le fond marin sont inexplorables.
Le bonheur des méchants et les malheurs des gens de bien, sont choses où nous n'avons rien à voir.
Il vaut mieux être à la suite des lions qu'à la tête des renards.
Cinq propriétés caractérisent le sage : Ne pas interrompre celui qui parle, Ecouter et réfléchir, Ne faire de questions que celles qui mènent à un but, Répondre à propos et par ordre, Dire : je ne sais pas, quand on ignore. Le sot fait tout le contraire.
Trois choses mènent le monde : La loi, la religion et la bienfaisance.
Il faut se mettre en règle un jour avant la mort ; Il faut donc se mettre en règle aujourd'hui, puisque nous pouvons mourir demain.
Celui qui a un jeune homme pour maître, est semblable à l'homme qui mange des raisins verts, et boit du vin doux ; mais le disciple du vieillard mange des grappes mûres et boit du vieux vin.
Il est plus facile de connaître dix pays qu'un seul homme.
L'honneur de ton ami te doit être aussi cher que le tien.
Si le gendre est bon, tu as gagné un fils ; s'il est mauvais, tu as perdu une fille.
Dans l'amitié ménage une petite place pour la brouille, et dans la brouille une autre pour la réconciliation.
Le menteur finit par ne plus obtenir créance, même en disant vrai.
Affaires voisines peuvent nourrir leur maître ; Affaires éloignées le mangent à coup sûr.
Les larmes sont à l'âme ce que le savon est au corps.
Quand le messie viendra, guériront tous les malades et tous les infirmes, sauf les imbéciles, car ils ne voudront pas.
Au sage, un signe suffit ; Au sot, à peine le bâton.
Dieu châtie d'une main et apaise des deux.
Trois choses ruinent le monde : L'oppression des serviteurs de Dieu, La justice mal rendue, L'enseignement négligé (ou perverti).
Le repentir et les bonnes actions sont un bouclier contre la colère du Ciel.
On ne peut donner que deux choses à ses enfants : des racines et des ailes.
Il y a trois sortes d'hommes d'étude : Celui qui consulte et conseille ; Celui qui consulte, mais ne conseille pas ; et il ne vaut pas le premier ; Mais celui qui ne demande d'avis, ni n'en donne, vaut bien moins encore.
La jalousie, la convoitise et l'ambition mènent l'homme au cimetière.
Eusses-tu soixante conseillers, consulte-toi pourtant toi-même.
Tel va à la noce, qui ne se doute guère de ce que le temps lui réserve.
Ton voisin fût-il un méchant homme, rends-lui service.
L'or a besoin d'être frappé pour avoir sa valeur, et l'enfant aussi.
Quand deux Juifs sont ensemble, il y a déjà trois opinions en présence.
Malheur à la maison dont la vaisselle est neuve ; on n'y reçoit pas d'invités.
Il y a trois espèces de sueur : celle de la maladie, celle de l'étuve, et celle du travail, qui est la meilleure de toutes.
L'homme affairé ne saurait être sage.
L'homme timide n'apprend pas, Ni l'homme colère n'enseigne.
Ma maison, c'est le sein de ma mère.
Un enfant sans père est à demi orphelin, un enfant sans mère est un orphelin entier.
Rien de meilleur à l'homme, que de se taire.
Pour honorer le médecin, n'attends pas que tu en aies besoin.
Parle peu, et fais beaucoup.
Quand tu aurais un millier d'amis, ne dis ton secret qu'à un seul.
La nappe mise termine bien des disputes.
Il y a plus de pommiers dans une pomme que de pommes dans un pommier.
Ne te charge jamais d'épauler le méchant.
Choisis plutôt d'être la queue du lion, que la tête du renard.
Il témoignera pour toi au jour du procès.
Des cheveux blancs sont un bon signe pour la maison où on les trouve.
La journée (la vie) est courte, l'ouvrage long, les ouvriers paresseux, le salaire considérable ; et le maître (Dieu) presse.
Si tu as des intérêts communs avec un honnête homme, il te faudra cent instances pour les dégager ; mille instances ne te tireront pas d'affaire avec le méchant.
Ne cherche pas à calmer ton ami quand il est en colère, Ni à le consoler près du cadavre de celui qu'il pleure, Ni à l'interroger quand il est en prière, Ni à l'égayer quand il est dans l'abjection.
Si tu veux qu'on te comprenne, fais-toi comprendre.