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J'étais tellement laid... que ma mère avait encore des nausées, même après ma naissance.
Rodney Dangerfield
J'étais tellement laid quand j'étais bébé, que quand je jouais dans le bac à sable, le chat m'envoyait du sable sur la tête pour me recouvrir.
Je bois trop ! La dernière fois que j'ai fait une analyse d'urine, il y avait une olive dedans.
Je me souviens du jour où j'ai été kidnappé. Mes ravisseurs, pour montrer leur détermination, ont envoyé un bout de mon petit doigt à mon père. Et mon père leur a répondu qu'il voulait plus de preuves.
J'ai dit à mon psy que tout le monde me détestait. Il m'a répondu que j'étais ridicule - que tout le monde ne me connaissait pas encore.
Je dis à ma femme la vérité. Je lui avouai que je voyais un psychiatre. Alors, elle m'avoua tout. Qu'elle voyait un psychiatre, deux plombiers et un barman.
J'ai découvert que la seule façon d'avoir l'air mince, c'était sortir avec des gens obèses.
Nous faisons chambre à part, nous allons dîner chacun de notre côté, nous prenons nos vacances séparément ; nous faisons tout ce que nous pouvons pour sauvegarder notre mariage.
Je pense pouvoir dire sans me tromper que mes parents ne m'aimaient pas. Mes jouets de bains, c'étaient un grille-pain et une radio.
J'étais si laid quand j'étais petit, que mon père avait gardé dans son portefeuille la photo de gosse qui était dedans lorsqu'il l'avait acheté.
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