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L'imagination a été inventée pour alimenter l'espoir.
Roger Fournier
La paresse est un vice très agréable puisqu'il nous traîne tous les autres à sa suite.
Le suicide aussi est un poème, en un certain sens. Il paraît même que c'est une oeuvre d'art...
Celui qui dit la vérité est toujours insupportable, c'est bien connu.
Retourner en arrière est une aventure aussi périlleuse que de s'élancer vers l'avenir.
Pourquoi lui avez-vous dit que vous l'aimiez, si ce n'est pas vrai ? - Je ne sais pas très bien. J'aime dire aux femmes que je les aime, parce que ça leur fait plaisir. Les femmes croient toujours ce qu'elles ont besoin de croire, tant pis pour elles.
Quand la femme ne sait pas qu'elle est un objet de luxe, elle est adorable.
Ce n'est pas dans les bras des hommes que la femme se sent "objet", c'est devant le médecin.
Tous les débauchés sont des saints qui s'ignorent.
Le jour du mariage, un mari est toujours un vrai mari...
Les souvenirs, c'est ce qu'on peut amener de plus beau dans l'éternité...
Les femmes ne perdent jamais une occasion de se montrer mystérieuses.
Je me vois descendant dans le vide, au ralenti, et chaque événement est un choc contre une paroi imaginaire qui me fait rebondir.
La jeunesse d'aujourd'hui se déshabille de ses complexes. C'est parfait. Il faut être nu pour prendre ses mesures avec justesse.
Si le philosophe n'est pas heureux, il n'est pas vraiment philosophe.
Les femmes croient toujours ce qu'elles ont besoin de croire, tant pis pour elles.
C'est justement ça, vivre, c'est avoir des problèmes et les résoudre...
Le pire ce n'est pas d'avoir faim, c'est de ne pas savoir quand on va pouvoir manger.
A partir de trente ans, les hommes sont mariés. S'ils sont célibataires et intelligents, ils ne veulent pas se marier. Tous les autres sont cons.
Le monde change merveilleusement mais la femme est toujours l'esclave de l'homme, d'une manière ou d'une autre.