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L'imprévisible apparaît comme un défi scandaleux lancé à la face d'un monde dont le coeur bat chaque jour davantage au rythme des ordinateurs.
Roger Molinier
Vivre, c'est bien. Savoir vivre c'est mieux. Survivre c'est sans doute le problème des hommes de demain.
Trop aboyer fatigue les oreilles les plus attentives.
En terme de préhistoire, on parle de l'âge de pierre, de l'âge du fer, de l'âge du bronze. En survolant toute l'histoire de l'humanité, ne devrait-on pas parler de l'âge du bois, du charbon, du pétrole ou de l'atome ?
Trop savamment utilisé, trop intelligemment cultivé, le réflexe de la peur engendre des réactions d'indifférence, de renoncement, de pessimisme et... de nihilisme !
Dans l'immense marmite où mijotent tous les rêves des hommes en quête de consommation, l'écologie ne saurait servir de fond, au sens culinaire du terme, de bouillon destiné à mouiller les ragoûts qui n'agrémentent qu'un volet de notre vie de chaque jour.
La puissance des médias enjambe allègrement toutes les frontières.