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Il faut accepter les choses. Cela prend du temps. Mais en fin de compte, toutes ces questions avec lesquelles on se torture n'ont pas de réponse.
Rosamunde Pilcher
Cinquante ans, c'est long quand on regarde devant soi, pourtant quand on regarde en arrière, on a l'impression que c'était hier. C'est à se demander ce qu'on a fabriqué pendant tout ce temps là.
Le chagrin est une chose bizarre. Tu n'es pas tenu de la traîner derrière toi jusqu'à la fin de tes jours. Au bout de quelques temps, tu le déposes sur le bord de la route et tu poursuis ton chemin sans lui.
Elle se dit avec tristesse qu'à mesure qu'on vieillissait, on devenait de plus en plus pressé et que le temps s'écoulait de plus en plus vite, les mois se bousculant pour prendre la place du précédent et les années disparaissant du calendrier avant de sombrer dans le passé.
Je n'ai jamais vraiment su ce que je voulais, et quand je l'avais, je découvrais aussitôt que je n'en avais jamais vraiment eu envie. Et ça, c'est parce que je cherchais quelque chose qui n'existait pas.
C'était peut être ça la liberté. Personne pour s'inquiéter de l'heure à laquelle elle rentrait, personne pour s'inquiéter de ce qu'elle faisait.
Il faut saisir au vol tous les instants de bonheur qui se présentent.