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Aimer quelqu'un, c'est avoir besoin de lui. C'est supporter ses défauts parce que d'une certaine manière, ils vous complètent.
Sarah Dessen
C'est comme faire du vélo, si on se met à réfléchir, on prend conscience que c'est un phénomène très compliqué. Alors qu'il faut juste appuyer sur les pédales et ne pas s'occuper de la mécanique. Ça marche tout seul.
C'est drôle d'arriver très loin des buts qu'on s'était fixés mais de découvrir qu'on ne pouvait pas tomber mieux.
Parce que c'est un mec, renchérit Chloé. Et les mecs ne s'attachent pas, les mecs ne se donnent jamais complètement et les mecs mentent. C'est pour ça qu'il faut être très méfiante, ne jamais les croire et les tenir à distance autant que possible.
Quand on est bien avec quelqu'un, on n'a pas besoin de parler.
Que ce soit une chanson, une personne, une histoire, on ne peut pas se faire une opinion à partir d'un extrait, d'un coup d'oeil ou d'un refrain.
Une fois que tu aimes quelque chose, tu l'aimes pour la vie, d'une façon ou d'une autre. C'est comme ça. Cela fait partie de ce que tu es. Du meilleur de toi.
Bon OK ! Mais si tu fais UNE tâche dans ma voiture je te vire et sans ralentir ! Compris ?
Ne rien tenter, par peur que ça ne dure pas toujours, est-ce mieux ?
Tu es complètement cinglée ou quoi ? Flirter avec Eliot Stock sous le nez de Belissa Norwood, chez Belissa Norwood, en mangeant les cupcakes de Belissa Norwook ?
Ma mère ne se servait de son ordinateur dernier cri pour jouer au solitaire.
On ne peut tout de même pas fermer son coeur comme un robinet. Il faut remonter à la source et l'assécher goutte à goutte. Ça prend du temps.
Il vit se confondre insensiblement dans l'économie de la nature, les limites du vrai et du faux, du bien et du mal, du juste et de l'injuste.
En refusant de jouer, on se condamnait à ne jamais savoir.
On n'a pas souvent de deuxième chance dans la vie. Si tu ne peux pas changer ton passé, modifie ton avenir.
Les histoires si belles ou si longues soient elles finissent toujours par le mot fin.
Je n'avais plus aucune illusion sur l'amour. Il venait, repartait, laissant des blessure, ou n'en laissant pas.
Mais tout le monde est capable de commencer quelque chose : les débuts sont toujours pleins de promesses et chargés d'espoirs...
Il vit aussi que les arts, dirigés par la véritable philosophie, développaient les hommes, ennoblissaient leur existence ; que la civilisation formait la moitié de la vie, et que, sans elle, les hommes seraient les plus malheureux des êtres.
Le vie ressemble à la navigation d'un vaisseau.