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Il y a des rencontres qui ne se font pas par hasard mais ce n'est pas non plus le destin car aucune chose n'est écrite, Dieu nous a donné le libre arbitre.
Sivi le poète
Laisse-moi t'apprécier comme les poètes apprécient la pleine lune dans les nuits de printemps.
Je ne suis pas un homme de paroles faciles mais je ne voulais pas non plus user de beaucoup de mots.
Quand le poète ne veut pas écrire, le monde entier est triste.
L'homme poète est celui qui fait des merveilles du monde son inspiration.
Dans les adieux je n'aime pas tarder, par peur que le coeur ne cède et pleure.
Que fais-je pour l'amour ? J'écris pour lui des poèmes d'amour.
La musique est pour les musiciens, le poème pour les poètes, la stupidité pour les stupides, mais l'amour est donné à celle qui le mérite.
L'important n'est pas de connaître beaucoup de femmes mais d'en aimer une comme si elle était mille en une seule.
Je veux immerger ma langue dans la rivière de ta bouche, rivière d'eau pure et sucrée.
Quand les hippopotames se battent, il est vivement conseillé aux poissons de ne pas rester dans les parages.
Les femmes laissent des plaies dans nos coeurs et ne nous aident pas à les guérir.
Même si la montre ne marche pas le temps avance malgré tout.
Plaisir est bon, les caresses sont meilleures.
Tu es belle comme des charmantes nuits de septembre avec la lune et les étoiles !
Je bouillonne des paroles à l'intérieur de moi. Quelqu'un enlève le couvercle et les paroles sortiront tel un aigle, qui fond pour attraper quelque chose à manger.
La vie est injuste avec moi. Mais avec qui est-elle facile ? Tout le monde souffre, d'autres plus, d'autres moins.
Les amis nous façonnent à leur image.
La langue française est très belle mais le portugais défile sur la langue tel son baiser !
Je ne fais que rêver de mondes merveilleux, rien de plus.
Dans mes pensées, je suis en train de vivre une belle aventure qui nous mènera loin...
La douleur de te perdre me consomme chaque jour, j'espère être en vie si tu viens un jour.
Compte les étoiles dans le ciel obscur. Si tu y arrives, alors mon amour pour toi est faux.
Les principes sont faits pour les sages, les lois pour les idiots.
Les présidents et les ministres sont en train de discuter autour de la table, tandis que le peuple, là, dehors, est un train de se tuer !
Il y a rien de nous dans les étoiles, regardons plutôt sur terre où nous sommes installés.
Un baiser, c'est aussi l'attribut de la trahison.
Le coeur, lui, n'a pas de repos car, du jour où il cesse de battre, l'esprit de la personne retourne au vrai Dieu qui l'a créée et le coeur, lui, s'éteint.
Un baiser, c'est la voix active du respect et de l'amitié.
Les paroles d'un désespère, les passereaux les emportent là-bas, au fond, derrière les montagnes. Personne n'entend, personne ne sait.
Faire le mal peut, d'une certaine façon, rendre heureux sur le moment mais l'allégresse de faire le bien est immense et meilleure.
On dit qu'une seule hirondelle ne fait pas le printemps. Mais toi seule me suffit parmi tous les autres, toi tu fais mon été, mon hiver et mon printemps.
Le monde n'est juste pour personne, c'est pour cela que j'accepte ma douleur.
Qu'on donne au patient de beaux cadeaux. Et que Dieu dans sa miséricorde, augmente ses jours de vie ici-bas.
Trois choses sont difficiles à arrêter quand elles sont déjà lancées : la femme quand elle aime le plus possible, le soldat en pleine guerre, et le poète en train d'écrire.
En français on dit "faire l'amour", cela n'a rien à voir avec "dormir avec quelqu'un". Dans "faire l'amour", le mot amour change tout.
Il fait un mauvais temps comme moi.
Je voudrais être fouetté à cause de l'erreur que je commets constamment, mais Dieu est miséricordieux, au contraire, je n'ai pas été fouetté mais pardonné.
Les paroles des sages me font bien au coeur, les paroles de Yahweh me donnent la vie.
J'ai changé la solitude en tristesse, voyez ! Je n'ai rien gagné ! Je n'ai eu aucun profit.
Dans le chemin de la vie, il y a la mort. Moi je voudrais rester au milieu.
Je voudrais retourner dans le ventre de ma mère et me cacher de tous les malheurs, du péché et de la douleur.
Je me suis efforcé de rechercher et de me familiariser avec les écrits de sages, non pour être sage, mais pour marcher dans la sagesse.
Les femmes savent le point faible des hommes, mais les hommes ne sont pas arrivés à trouver le leur.
J'ai déjà fait ma prière, maintenant je suis un chemin.
Reste dans le calme, ô mon âme, car tu n'es pas fausse, tu auras peut-être droit à la miséricorde.
Je n'ai pas trouvé la jeunesse chez les jeunes, pardonnez-moi.
Si je souffre... Le problème n'est pas là. Mais pourquoi je souffre Oh ! Voilà où est le problème.
J'ai déjà beaucoup marché mais devant moi le chemin est encore long.
Attrapez s'il vous plaît l'hirondelle qui a amené mon bonheur, cherchez-la dans la haute montagne du monde, dans les nuages, sur les voiles des navires en haute mer, dans les hauteurs des arbres de la terre, s'il vous plaît trouvez-la, pour qu'elle ramène mon bonheur. Mais attention ! Ne la blessez pas, ne mettez pas de pièges pour l'attraper, de peur qu'elle ne disparaisse et moi avec elle.