Images
Après la souffrance vient la gloire, mais les souvenirs restent dans la mémoire.
Sivi le poète
Dans le banquet des colombes, l'oiseau aussi est venu et se fait inviter.
Rêve inaccessible, une histoire d'amour mal terminée, je veux sortir faire un tour, de jour le soleil et de nuit la pleine lune me tiendront compagnie.
Poème est ta démarche, La plus belle des démarches. Lorsque tu marches La terre elle-même se réjouit.
Si un jour on me demandait de ne plus écrire, il faudrait aussi m'enlever mon âme, pour que je puisse partir me reposer en paix.
Oeil pour oeil, dent pour dent, et on finira sans dents.
Je n'ai rien, je ne veux qu'écrire et mourir ensuite.
J'ai essayé de comprendre les femmes mais dès le début j'ai remarqué que c'était mission impossible, que jamais je ne réussirai même si je devais vivre mille ans.
Les larmes tombées ne reviennent plus pour que ne revienne pas notre douleur.
J'ai attendu le bonheur mais il ne venait pas, j'ai dû aller le chercher.
Elle n'est pas là alors, la pleine lune là-bas, en haut devant ma fenêtre, me tient compagnie dans cette nuit ni joyeuse ni triste.
Je voudrais être à côté de toi, comme cette étoile là-bas à côté de la lune.
Art dans la poésie, art dans la musique, art dans l'amour, art dans l'art.
Si un jour le monde devient juste S'il vous plaît prévenez-moi Pour que nous nous réjouissions ensemble.
Un baiser, c'est le compliment direct de l'amour.
Pouvoir écrire, pour moi c'est une bénédiction des cieux et une grande satisfaction.
Je crois en amour comme je crois en Dieu, et Dieu est amour.
On a foi en la résurrection des morts mais on pleure quand même.
J'ai écrit des citations mais je n'ai ai pas révélé la signification, j'ai tout gardé dans mon coeur.
Je voudrais que mes belles citations s'envolent des feuilles du papier jusque dans les airs, pour que tous voient comme la pluie tombe, comme le vent souffle, comme le soleil et la lune brillent !
Nous les poètes, nous sommes placés derniers en ce qui concerne les délices de la vie.
Les yeux, eux, voient. Le coeur dit, vas-y. Les pieds vont, et le coeur finit par pécher. Les ondes sont toujours aussi grandes que la mer. Même si tu ne sais pas où aller, continue à marcher, cela est ta part.
Qui a Dieu comme père et en est aimé possède tout.
J'ai pleuré quand je suis venu au monde, et c'est en pleurant que je continue à vivre.
Une de mes côtes manque, qui est celle qui me la ramènera pour me compléter ?
Quand on doit naître, on ne le sait pas, mais qu'on doit mourir, on le sait bien.
Je m'énerve quand quelqu'un dit que la poésie, ce n'est que des jeux des mots.
Le visage peut masquer la douleur mais le coeur, lui, souffre.
Je suis devenu poète afin de faire des recherches avec sagesse, pour voir si les promesses d'amour faites par les fils de l'humanité sont vraies ou fausses.
Hier on m'a demandé : "Que feras-tu après ?" J'ai répondu que je voulais seulement écrire, mais je n'ai pas dit que je pleurerai aussi.
Il fait nuit, même si la tour Eiffel est allumé et la Ville rose éclairé.
Je ne voulais pas être intelligent, je voulais être sage mais je ne pouvais pas. C'est pour cela que je marche dans la sagesse, même sans être sage.
Le propriétaire du poème une fois lu n'est plus le poète mais la personne qui le lit.
J'aime bien les défis, ils m'endurcissent.
Ô vent ! Pourquoi as-tu emmené la femme que j'aime ? Apporte s'il te plaît, ô vent de tempête, La femme que j'affectionne. Tempête ! Apporte la pluie, Apporte l'orage, Mais surtout, Ô vent, apporte-la, elle, la femme que j'aime.
Photographie : poésie en images.
J'écris un poème sans titre, comme moi sans toi.
Tu es aussi belle et précieuse pour moi que les pyramides de Gizeh pour les égyptologues.
Le plaisir est comme un trou profond et glissant, en sortir alors qu'on est au fond est trop difficile, voire impossible...
La souffrance pour moi est en cercles : je n'en vois pas la fin.
Que je souffre, pas de problème, mais que mes frères et soeurs souffrent, je ne l'admets pas. Mais qui suis-je pour admettre ou ne pas admettre quoique ce soit ?
Le coeur n'est pas une voiture qu'on peut diriger.
Si l'amour n'est rien, s'il ne signifie rien, s'il n'existe pas, alors que je meurs.
Viens jeune fille, de peur que je m'en aille telle une comète dans l'immensité de l'univers et que tu ne puisse plus me suivre et me trouver.
Il vaut mieux mourir d'espérance que finir sa vie à faire le mal au point de descendre jusque dans les profondeurs de la terre, dans le shéol.
Je félicite les personnes âgées qui étaient déjà vieilles à cause de leur âge avancé et de leur sagesse plutôt que nous, pauvres jeunes, qui courons à la suite du vent.
Je m'enfuis pour ne pas la voir mais quand la nuit arrive je pense à elle et je rêve d'elle.
Dans les chemins, il y a toujours une montée et une descente, il suffit à l'homme de décider.
J'entends dire : "Le véritable amour, le véritable amour !" Mais personne ne le connaît, le véritable amour, sinon la personne qui le ressent.
Les chemins de ceux qui devraient se croiser ne se rencontrent pas, les portails se referment petit à petit...
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