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Ce n'est pas parce que vous faites rire avec des sujets graves que vous êtes méchant, au contraire.
Stéphane Guillon
Ah ! Juste une précision pour les étrangers qui nous écoutent... Contrairement aux apparences, François Fillon, l'homme mesuré, posé et distingué, c'est le Premier ministre. Et l'autre, le petit brun gouailleur sous Prozac, c'est le Président de la République.
Chaque époque a ses libertés et ses interdits, je pense que l'on peut dire des choses aujourd'hui, que l'on ne pouvait pas dire à l'époque de Desproges ou de Le Luron.
Nicolas Sarkozy souhaite atteindre le plein-emploi à la fin de son quinquennat... Pour un homme qui va perdre la présidentielle de 2012, vouloir que tout le monde ait un boulot quand lui n'en aura plus, c'est un beau geste !
Je pense que le dernier terrain de liberté, c'est la scène. Là, on prend mes propos in extenso, sans les détourner.
L'important dans l'humour, c'est la transgression !
Christophe Castaner, je pense que c'est quelqu'un de précieux qu'il faut absolument garder. C'est l'un de mes meilleurs clients. C'est un peu le physique de Charles Pasqua avec le QI de (Nadine) Morano. C'est un garçon qui est précieux, donc je suis pour le garder.
C'est la première fois que l'on a une cagole ministre de l'Intérieur.
DSK est compromis dans une affaire d'adultère ! Le dernier des éléphants possède le métabolisme d'un lapin.
Les artistes ne s'expriment plus car le prix à payer est très lourd.
Si j'achète un billet Polnareff, je ne veux pas qu'on me refile à la place du Obispo. Martine Aubry est à Ségolène Royal ce qu'Obispo est à Polnareff.
Ce qui nous trahit aujourd'hui, c'est la petite phrase sortie de son contexte.