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Je n'aime pas stagner, faire du surplace. Je suis quelqu'un de positif.
Teddy Riner
Tant que la motivation sera là, j'espère qu'il y aura de belles médailles.
La préparation à laquelle je me suis astreint a retiré tous les doutes que j'aurais pu avoir.
Fais ce que tu sais faire, gros, donne tout ! C'est simple, il faut se dire que c'est simple.
Subir, c'est se mettre une pression monstre sur les épaules. Quand je suis arrivé en équipe de France, j'ai de suite vu que certains anciens ne feraient pas de médailles. Ça se voyait rien qu'à leur regard. Je ne dirais pas qui mais, sur leur visage, il y avait marqué pression.
Je pense aux Jeux Olympiques matin, midi et soir. J'en rêve, j'en cauchemarde.
J'aime l'amusement, même si je mets un minimum de sérieux dans ce que je fais. Avec des limites quand même. Mais c'est vrai que je rigole tout le temps. J'ai besoin de m'amuser. La joie, ça fait partie de moi. Si on m'a éduqué à quelque chose, c'est bien au plaisir.
Je suis très content d'avoir réussi à aller au bout de cette journée. Je suis fatigué, je ne vais pas vous mentir, je suis claqué, mais le plaisir, la joie de savourer cette médaille viendra. Pour l'instant, je ne sens plus mon corps. Mais je suis très content parce que la médaille d'or est à moi.
Si tu n'as pas l'envie, c'est mort ! L'envie te permet de te relever. De te dépasser quand c'est dur.
Tu sais, le judo est une sorte de danse pour les costauds... alors bouge, petit ! Danse !
Il faut se dire une chose, c'est que l'erreur est humaine. Imaginons qu'il n'y ait pas d'arbitres. Sans arbitres, il n'y a pas de sport. Quelqu'un qui agresse un arbitre, doit être radié de tous les terrains, et de toutes les salles de sport. A vie, sans exceptions.
Ce n'est jamais pareil, chaque médaille a sa particularité : la première, on ne l'oublie jamais, un titre olympique, on l'oublie encore moins... La neuvième, c'est le fait de continuer de prendre du plaisir.
On n'a rien sans rien. Si on ne se met pas la misère à l'entraînement, si on ne se force pas à repousser les limites, on ne va nulle part.
Aujourd'hui, je suis préparé à toute situation.
Je ne crache pas sur l'argent, mais je n'accepte pas n'importe quoi !
"Un enfant qui ne joue pas n'est pas un enfant. On a besoin de jouer pour grandir", répète-t-elle, au point qu'on la surnomme madame Proverbes.
Je veux jouer dans un film à la Statham.
J'ai besoin de souffler. Ces dernières années ont été dures pour moi. J'ai énormément enchaîné.
Un kimono, c'est pas juste un bout de tissu, c'est une arme de guerre.
Je n'ai peur de rien.