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Conviez un cul sur le divan et le coeur est mis à nu.
Toni Bentley
Le désir est sensuel, une manifestation du libre choix ; l'attachement, au contraire, est l'ennemi du libre choix.
La liberté réside dans l'adoration. La liberté de ne rien retenir, qui projette l'être au royaume elliptique de l'amour.
L'échec est un grand anti-aphrodisiaque.
Le grand amour apporte toujours avec lui des idées de mort et de séparation.
L'amour, c'est l'amour sans chaînes.
L'angoisse, cette souffrance omniprésente, naît de la certitude inéluctable que notre fin à tous est proche.
C'est une forme de ravissement que d'avoir une adoration aussi inconditionnelle pour toute la surface du corps, la peau, d'un autre être humain.
Il est plus facile de désirer quelque chose que de le posséder. Souvent, quand on obtient enfin la chose qu'on voulait depuis longtemps, on est déjà absorbé par ses nombreux substituts.
Si le paradis est un avant-goût d'éternité dans l'instant présent, alors l'enfer est une éternité de chagrin dans l'instant présent.
La domination, la domination totale et absolue de mon être, c'est là où je trouve ma liberté.
Pénétrer un cul, c'est pénétrer dans un passage qui n'a pas de fin.
Comment sait-on si c'est l'amour, le grand amour ? Quand on rencontre celui avec qui l'on n'a pas peur de mourir.
Ne pas avoir d'autre choix que se rendre, c'est déjà se rendre.