Images
Quand je ne vais pas au théâtre, je ne sais pas quoi faire, je ne sais pas à quoi je sers.
Valérie Lemercier
Quand vous êtes une femme de 50 ans seule, on ne vous invite plus.
Un acteur mauvais au cinéma, ça n'est jamais de sa faute, c'est qu'il a été mal choisi ou mal dirigé.
Mes anciens fiancés sont des types bien, pas mesquins, jamais radins, encore moins calculateurs. Avec eux, j'ai des liens à vie.
Sur scène, on fabrique devant les gens, et j'aime fabriquer.
Seul le Vrai m'amuse. Et le vrai n'est pas toujours drôle...
Quand je suis sur scène, je suis sûrement très, très, très moche. Heureusement que je ne me vois pas, sinon je me ferais peur.
La scène, c'est ce que je préfère faire au monde.
J'ai aussi envie de lire et de rester chez moi en pyjama.
Je ne répète pas ! Me mettre devant un miroir, ce serait catastrophique parce que je m'y verrais.
La bourgeoisie, c'est mon fonds de commerce.
Je n'étais pas une mauvaise élève, mais j'étais un peu dans mon monde.
Il m'arrive de me promener chez moi en maillot de bain avec mes mules Charvet ou mes Gucci à fleurs, et j'ai l'impression d'être à la mer.
Cannes, ce n'est pas pour les comédies.
J'aimerais bien être croyante, mais non... Alors, j'ai abandonné Dieu, et, pendant qu'on prie, moi, je pète sur scène.
J'adore la bourgeoisie. Elle me fait hurler de rire. J'en viens et c'est mon fonds de commerce.
Mon projet, c'est de passer le permis de conduire.
Le cinéma, c'est comme un père, ça fait rêver. Le théâtre, c'est comme une mère, on y revient toujours...
Mon projet de vie actuellement, c'est de passer le permis. Je ne l'ai jamais passé. Or, j'aimerais bien être un peu indépendante et avoir un placard ambulant si je veux partir en vacances.
On est dans un monde qui périme tout trop vite et envoie aux orties les femmes dès leurs premières rides.