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Je n'ai jamais tellement cru aux princes charmants.
Virginie Efira
C'est aux femmes de porter un autre regard sur elles-mêmes.
En amour, il faut parvenir à dire et à être qui on est en s'affranchissant de la peur d'être quitté.
J'aime l'idée d'être profondément ensemble, mais moins celle d'un amour sécuritaire. Il faut accepter qu'il y ait du mouvement à l'intérieur d'un couple. Tant qu'il y a la confiance.
Je découvre le plaisir d'être moi-même.
J'ai été marquée par de grands films américains, des actrices mythiques... Mais j'avais aussi, en moi, ce désir de notoriété.
Il faut toujours s'émerveiller des choses.
Trop d'égards, ça tue parfois l'amour.
Je ne vis pas avec le père de ma fille.
Dans la vie, on peut rencontrer plusieurs princes charmants et pas juste un seul
la beauté de l'existence, c'est le fait que la vie n'est pas facile.
Les fêlures sont aussi particulièrement constituantes.
Maintenant, à l'approche de la quarantaine, j'essaie de contrôler un peu l'affaire. Si je ne veux pas que mon corps prenne son indépendance, il faudrait qu'entre lui et moi s'installe ce qu'on appelle communément "le sport" ! Chez moi, ce n'est pas une évidence.
La mélancolie, c'est le voyage des vies qu'on n'a pas eues.
Il faut faire attention à ne pas trop s'installer dans les choses, se battre pour continuer à percevoir leur sens.
Le progrès est en marche mais il est d'une incroyable lenteur !
J'ai le sentiment que je peux dire avec autant de sincérité une chose et son parfait contraire.
Tout ce qu'on considère comme acquis est à revoir. On s'habitue vite à quelque chose.
Je pourrais renoncer à un peu de liberté par amour, afin d'accéder à une liberté suprême.
J'ai tout de même conscience que, dans la typologie des actrices, il y a des filles plus minces. Mais on s'accepte aussi quand on est bien regardée. Par une réalisatrice, par un homme.