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Prenez les armes, et montrez votre valeur, soyez prêts au combat ; car il vaut mieux pour nous périr en combattant que d'affronter le spectacle de l'outrage fait à notre nation et à notre autel.
Winston Churchill
Lorsque je suis à l'étranger, je m'impose de ne jamais critiquer ni attaquer le gouvernement de mon pays. Je me rattrape quand je rentre.
L'écriture est une aventure. Au début c'est un jeu, puis c'est une amante, ensuite c'est un maître et ça devient un tyran.
Le chien lève vers vous des yeux implorants, le chat vous regarde de haut. Mais parlez-moi du cochon ! Le cochon, lui, vous regarde droit dans les yeux, d'égal à égal.
Ce n'est pas la fin. Ce n'est même pas le commencement de la fin. Mais, c'est peut-être la fin du commencement.
Vous aviez à choisir entre la guerre et le déshonneur ; vous avez choisi le déshonneur et vous aurez la guerre.
A la guerre, la maxime "sécurité d'abord" mène tout droit à la ruine.
Il n'y a pas de contes plus beaux que ceux que la vie a elle même composé.
Il ne sert à rien de dire "Nous avons fait de notre mieux". Il faut réussir à faire ce qui est nécessaire.
Nous pourrions lui donner le ministère de la guerre et nous serions sûrs de l'éviter : pendant la guerre, il était ministre du charbon et nous n'avons jamais eu de charbon.
Le vice inhérent au capitalisme, c'est le partage inéquitable des biens ; la vertu inhérente au socialisme, c'est le partage équitable des maux.
Il n'y a pas de meilleur placement pour un pays que de mettre du lait dans des enfants.
Je suis toujours prêt à apprendre, bien que je n'aime pas toujours qu'on me donne des leçons.
En raison de la négligence de nos défenses et de la mauvaise gestion du problème allemand au cours des cinq dernières années, il semble que nous soyons très près du choix sombre entre Guerre et Déshonneur. Mon sentiment est que nous choisirons le déshonneur, puis que la guerre sera déclarée un peu plus tard dans des conditions plus défavorable qu'actuellement.
Vous vouliez la paix, vous vouliez sauver l'honneur : vous aurez la guerre et le déshonneur !
C'est une belle chose d'être honnête, mais il est également important d'avoir raison.
Nous l'appelons Jeanne d'Arc et nous cherchons quelque évêque pour le faire brûler.
De Stettin sur la Baltique à Trieste sur l'Adriatique, un rideau de fer s'est abattu sur le continent.
Il n'y a qu'une réponse à la défaite, et c'est la victoire.
Un rideau de fer est descendu sur l'Europe.
L'Angleterre s'écroule dans l'ordre, et la France se relève dans le désordre.
(Alors qu'on lui demandait quelle devait être la principale qualité d'un politicien) - C'est la capacité de prédire ce qui va arriver demain, le mois prochain, et l'année prochaine ; et, après, d'expliquer pourquoi cela ne s'est pas passé.
Il y a peu de vertus que les Polonais ne possèdent et peu d'erreurs qu'ils n'aient commises.
Avec Staline, quand on avait dix à partager, il disait : Bien ! On ne parle pas des cinq qui sont à moi. Qu'est-ce qu'on fait avec les cinq vôtres ?
La démocratie est le pire des régimes politiques... si on fait abstraction de tous les autres.
On ne devrait jamais tourner le dos à un danger pour tenter de le fuir. Si vous le faites, vous le multiplierez par deux. Mais si vous l'affrontez rapidement et sans vous dérober, vous le réduirez de moitié.
Le secret de ma vitalité ? Je n'ai dans le sang que des globules rouges : l'alcool a tué depuis belle lurette tous mes globules blancs.
J'ai l'impression que nous allons devoir choisir pendant les prochaines semaines entre la guerre et le déshonneur, et j'ai assez peu de doute sur l'issue de ce choix.
Ne croyez surtout pas que je fume toute la journée ! Je suis bien trop tempérant pour cela. Il s'agit en réalité de faux cigares : ils sont creux et remplis de cognac à l'intérieur...
Je me satisfais aisément du meilleur.
Nous sommes tous des vers... Mais je pense que je suis un ver luisant.
Il n'y a rien de négatif dans le changement, si c'est dans la bonne direction.
Armez-vous et soyez des preux. Soyez tout prêts pour le conflit, car mieux vaut périr au combat que d'avoir sous les yeux le déshonneur de notre nation et de notre autel. Que tout se passe selon la volonté de Dieu qui est au ciel !
Il est une bonne chose de lire des livres de citations, car les citations lorsqu'elles sont gravées dans la mémoire vous donnent de bonnes pensées.
Aux examens on nous pose toujours des questions dans des domaines qu'on ne connaît pas et jamais dans ceux qu'on connaît bien.
Un bon diplomate est quelqu'un qui peut égorger son voisin sans qu'il s'en aperçoive.
C'est un de ces orateurs qui, quand ils se lèvent, ne savent pas ce qu'ils vont dire, quand ils parlent, ne savent pas de quoi ils parlent et, quand ils se sont rassis, ne savent pas ce qu'ils ont dit.
Le succès n'est pas final l'echec n'est pas fatal c'est le courage de continuer qui compte.
Agissez toujours comme s'il était impossible d'échouer.
Un conciliateur c'est quelqu'un qui nourrit un crocodile en espérant qu'il sera le dernier à être mangé.
La Russie est un rébus enveloppé de mystère au sein d'une énigme.
Jouer au golf, c'est comme chercher une pilule de quinine dans un pré à vaches.
Je ne crois aux statistiques que lorsque je les ai moi-même falsifiées.
Une pomme par jour éloigne le médecin, pourvu que l'on vise bien.
La démocratie est un mauvais système, mais elle est le moins mauvais de tous les systèmes.
Quand on doit tuer quelqu'un, ça ne coûte rien d'être poli.
J'ai retiré plus de choses de l'alcool que l'alcool ne m'en a retirées.
Rien dans la vie n'est plus réjouissant que de se faire tirer dessus sans résultat.
Nous avions à choisir (à Munich) entre le déshonneur et la guerre. Nous avons choisi le déshonneur et nous avons eu la guerre.
Un cheval, c'est malcommode au centre et dangereux aux deux extrémités.