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Parfois, je déteste être acteur.
Yvan Attal
Quand on n'a pas le bac, on fait acteur.
Le couple c'est compliqué. Tu sais, je n'ai pas vu Charlotte depuis des mois.
Le comédien, on vient le chercher en voiture, on lui dit où aller et quoi faire... Cela ne me plaît pas. Même si ça flatte l'ego !
Du premier jour de tournage jusqu'au dernier jour, les choses étaient complètement faciles et naturelles entre Berenice et moi. Bien sûr, notre relation a changé à mesure que nous nous connaissions, avec chaque scène dans laquelle nous tournions. Mais c'était toujours très facile !
Ça fait 25 ans. Ce serait très naïf et très prétentieux de croire qu'elle n'a que moi dans sa tête depuis 25 ans. Je veux bien admettre que peut-être il y a eu quelque chose de réel, pas réel ou une pensée, du moment que je ne suis au courant de rien, tout va bien.
Je suis convaincu que si, demain, il n'y a plus d'antisémitisme, il n'y aura plus besoin de se dire Juif. Seulement, on vit dans le pays où les actes antisémites s'accumulent.
Des yeux qui ne voient pas, ne pleurent pas.
Elle est allée à New York. Elle voulait qu'on s'installe là-bas mais ça tombait mal avec mon film. Mais après la mort de sa soeur, elle avait besoin de partir et je lui donne totalement raison. A l'étranger, quand on la reconnaît dans la rue, on lui parle d'elle et pas de son père ou de sa mère.
L'objectif est de remettre le débat de l'antisémitisme sur la table.
Elle (Charlotte Gainsbourg) fait ce qu'elle veut, tant que je ne le sais pas.
Il est difficile de faire des films engagés.