Je supporte les tatouages des Cafres, les ornements des Persans, des paysannes slovaques, les dessins de mon cordonnier. Ils n'ont, les uns et les autres, que l'ornement pour embellir et exalter leur vie. Nous, les aristocrates, nous avons notre art moderne, l'art qui a remplacé l'ornement. Nous avons Rodin et Beethoven.