Une promesse de femme, c'est comme une corde tendue ; ça ne tient pas longtemps.
Adrien Thério
Trop de jeunesse et trop de vieillesse empêchent l'esprit.
Blaise Pascal
Dans toute noirceur, suivre sa lueur intérieure et se méfier des imposteur et des marchands de bonheur.
Daniel Desbiens
Et ça s'est débouché tout d'un coup, ça a coulé, clair, puis épais, puis clair encore, la lie et le vin mélangés, comme si la bonde avait sauté d'un tonneau oublié.
Jean Giono
Un livre est un objet devant soi, quelque chose sur quoi on peut réfléchir, à quoi on peut revenir, qu'on peut corriger, contredire, discuter, quelque chose qu'on juge. Les images, les sons passent aussi vite que les moments successifs de la vie.
Jean Guéhenno
Ah ! que veux-tu qu'un coeur brûlé d'amour fasse durant tant de siècles ? L'absence même serait moins cruelle.
Jean-Jacques Rousseau
Tout est séparé par des infinis.
Louis Calaferte
Donnez-vous des rendez-vous partout, Dans les champs, dans les choux, Faites-vous des baisers tout de suite, Des serments sur le grand huit. Le temps passe à toute vitesse, Roulez jeunesse.
Louis Chedid
Quand l'amour finit, l'habitude avait pris sa place et il ne manquait pas dejeunes gens immoraux pour l'exploiter. Complices de mes fautes, ils s'en faisaient aussi les apologistes en face de ma conscience.
Marcel Proust
Le monde change quand nous changeons.
Marianne Williamson
Il n'y a pas de beauté qui se perde.
Maurice Maeterlinck
J'ai renoncé à l'amitié de deux hommes. L'un parce qu'il ne m'a jamais parlé de lui ; L'autre parce qu'il ne m'a jamais parlé de moi.
Nicolas de Chamfort
Ils se prennent pour Tarantino dans le film, mais ils sont morts dans la bande annonce.
Ninho
Seule occupation qui ne soit pas indigne d'un gentleman dans la matinée : désembrouiller l'écheveau de ses rêves.
Roland Topor
Il y a deux routes qui mènent à la vie. L'une est la route ordinaire, directe et honnête. L'autre est dangereuse, elle prend le chemin de la mort, et c'est la route géniale.
Thomas Mann
Le noir est comme un bûcher éteint, consumé, qui a cessé de brûler, immobile et insensible comme un cadavre sur qui tout glisse et que rien ne touche plus.
Vassily Kandinsky