On peut obtenir beaucoup plus avec un mot gentil et un revolver, qu'avec un mot gentil tout seul.
Al Capone
Si rien n'est plus doux que le souvenir du bonheur, rien n'est plus affreux que de s'apercevoir que le bonheur passé était un mensonge. Avez-vous jamais pensé à ce que ce peut être que de haïr ceux qu'on a aimés ?
Alfred de Musset
Tout le monde sait qu'on allège les maux en les supportant en commun : parmi ces maux, les hommes semblent compter l'ennui, et c'est pourquoi ils se groupe pour s'ennuyer en commun.
Arthur Schopenhauer
Le temps n'abime pas nos premiers enthousiasmes, même s'ils prennent la poussière dans notre mémoire.
David Foenkinos
Se montrer à la télé et se faire entendre à la radio, ce n'est pas mon métier. Les très rares fois où j'ai cédé, j'en sortais avec du regret d'y être allé.
Delfeil de Ton
Seul l'incrédule a droit au miracle.
Elias Canetti
Il faut expier pour les morts.
Georges Bernanos
Vous savez, il m'est arrivé très souvent de coucher avec des gens par erreur.
Jean d'Ormesson
Les plus petites choses sont souvent de meilleures marques que les grandes.
Jean-François Paul de Gondi
Il entre dans la composition de tout bonheur l'idée de l'avoir mérité.
Joseph Joubert
L'amour, la gloire, l'ambition, l'avarice - rêves ! - Rêves inutiles et mauvais, et dont pas un n'est meilleur ni pire, car ce n'est toujours qu'un même météore sous des noms différents, et la mort est la sombre fumée où va s'éteindre sa flamme.
Lord Byron
Il m'arrive de me donner d'excellents conseils, mais je suis incapable de les suivre.
Mary Wortley Montagu
Les jeunes gens veulent être fidèles et ne le sont point ; les vieux veulent être infidèles et ne le peuvent ; voila tout ce qu'on en sait.
Oscar Wilde
Voir, c'est comprendre, juger, déformer, oublier ou s'oublier, être ou disparaître.
Paul Éluard
L'origine des maux profonds dont souffre l'humanité vient de la guerre sourde que se font les femmes maigres et les femmes grasses.
Remy de Gourmont
Je vais ainsi toute la journée, sans trop savoir où je suis, l'oeil le plus souvent fixé à terre, la tête courbée vers le sentier, les bras derrière le dos, laissant tomber les heures et ramassant les pensées quand j'en trouve.
Victor Hugo