Citation de Alain Decaux

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Adieu, je ne sais trop ce que j'écris, mais je sais à qui j'écris et un ami peut voir le désordre de ma maison.... - Alain Decaux

Adieu, je ne sais trop ce que j'écris, mais je sais à qui j'écris et un ami peut voir le désordre de ma maison.

Alain Decaux

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Devenir adulte, c'est aussi se rendre à l'évidence, lâcher ses rêves d'enfant pour se laisser menotter par la réalité.

Aurore Guitry

Personne ne commet une faute plus grande que celui qui ne fait rien parce qu'il ne peut pas faire beaucoup.

Edmund Burke

Les lois, à l'image des maisons, s'appuient les unes sur les autres.

Edmund Burke

Tu demandes à un boiteux d'enseigner la danse à un paralytique. Si sincère que soit la leçon, le résultat promet d'être grotesque.

George R. R. Martin

Quand on s'interdit de critiquer qui que ce soit on n'est pas loin d'admirer n'importe qui.

Grégoire Lacroix

Le propre de la vraie forme c'est que l'esprit se dégage d'elle immédiatement, instantanément, tandis que la forme défectueuse le retient comme un mauvais miroir et ne nous rappelle rien qu'elle-même.

Heinrich von Kleist

Ilz l'envoyerent sommer de leur rendre la ville de Fidenes, comme à eulx appartenante.

Jacques Amyot

Son visage, on aurait dit quelqu'un d'autre. Il est quelqu'un d'autre. Il n'est plus celui qui m'aimait.

Jandy Nelson

On imagine les autres comme on est soi !

Laurent Grison

Un principe intellectuel et moral fondamental veut que les puissants fassent la loi. C'est une règle essentielle de l'ordre mondial, de même que dans la Mafia. Toute ressemblance n'est d'ailleurs pas fortuite.

Noam Chomsky

Ce toit tranquille, où marchent des colombes, - Entre les pins palpite, entre les tombes...

Paul Valéry

Il ne s'agit pas de peindre la vie. Il s'agit de rendre vivante la peinture.

Pierre Bonnard

Celui dont la maison est de verre doit se garder de jeter des pierres aux autres.

Proverbe Allemand

Qui vivra verra.

Proverbe Français

L'athéisme et le fanatisme sont deux monstres qui peuvent dévorer et déchirer la société ; mais l'athée, dans son erreur, conserve sa raison qui lui coupe les griffes, et le fanatique est atteint d'une folie continuelle qui aiguise les siennes.

Voltaire