Citation de Alain Robbe-Grillet

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A eux deux, ils ont soulevé le corps, l'homme le tenant par les cuisses et la femme par les épaules, sous les aiselles.... - Alain Robbe-Grillet

A eux deux, ils ont soulevé le corps, l'homme le tenant par les cuisses et la femme par les épaules, sous les aiselles.

Alain Robbe-Grillet

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Qu'on se le dise la jalousie est un zèle égoïste et malheureux.

André Comte-Sponville

Après Farhadi, tout semble fade et j'ai aussi envie de légèreté. Mais Le Passé restera le film dont je n'osais rêver.

Bérénice Bejo

Et la vérité vous fera libres.

Bible

De tous les hommes, le héros est celui qui pense le moins à la mort. Pourtant, nul n'y aspire, d'une façon inconsciente, il est vrai, autant que lui. Ce paradoxe définit sa condition : volupté de mourir, sans le sentiment de la mort.

Emil Cioran

Les contradictions sont les accidents de paysage d'un grand penseur.

Émile Faguet

Se mettre à plat ventre, c'est bien. Toutefois cette position est incommode pour lécher la main de celui qui vous donne des coups de pied dans le derrière.

Erik Satie

Les hommes se choisissent un avenir et mettent ensuite une femme dedans ; les femmes se choisissent un homme et elles arrangent l'avenir autour, comme elles peuvent.

Flora Groult

Le temps, qui fortifie les amitiés, affaiblit l'amour.

Jean de La Bruyère

Une civilisation incapable de faire la distinction entre l'illusion et la réalité est en bout de course.

John Ralston Saul

Tout corps plongé dans un liquide reçoit un coup de téléphone.

Maurice Roche

L'homme, par le fait d'être homme, d'avoir conscience, est déjà, par rapport à l'âne ou au crabe, un animal malade. La conscience est une maladie.

Miguel de Unamuno

La famille ne prête jamais d'argent et ne fait jamais crédit, même quand on a du génie. Elle fait penser au public, mais en pire.

Oscar Wilde

Si tout le monde appuyait fermement du pied droit sur le sol pour freiner, le temps passerait moins vite.

Roland Topor

Je veux être l'arbre, si tu es la fleur ; la fleur si tu es la rosée ; la rosée, si tu es le rayon de soleil, pour qu'à jamais tous deux nous soyons unis. Si tu es, jeune fille, le royaume des cieux, je veux être alors une brillante étoile, et si tu deviens demain l'enfer, je veux être damné, pourvu que nous soyons unis.

Sándor Petöfi

A ma mort j'irai au paradis car j'ai déjà fait mon temps en enfer.

Stephen King