Les couleurs, depuis toujours, je les aime parce qu'elles se parlent quand elles me regardent. Et je comprends leur langage sans paroles.
Alain Serres
Vous ne pouvez pas communiquer la complexité, juste en faire prendre conscience.
Alan Jay Perlis
Ne crois pas que ta vérité puisse être trouvée par quelque autre.
André Gide
Il y a tant de choses que l'on voudrait rattraper mais qui nous échappe.
Anonyme
Big Brother vous regarde.
George Orwell
Etonnantes ces personnes qui, prenant des airs supérieurs, arrivent à nous faire croire qu'elles le sont.
Grégoire Lacroix
L'ignorance d'un homme n'est pas seulement utile, mais belle aussi, tandis que son prétendu savoir se révèle souvent pire qu'utile en sus d'être laid. A quel homme vaut-il mieux avoir affaire, à celui qui ne sait rien sur un sujet et, ce qui est extrêmement rare, sait qu'il ne sait rien, ou bien celui qui sait vraiment quelque chose dans ce domaine, mais croit tout savoir ?
Henry David Thoreau
Que la jeunesse avance par injustice, c'est justice. Car promptement arrive l'âge du recul.
Jean Cocteau
Janine a chuté hier sur son genou et la voilà maintenant avec un déclenchement de synonyme.
Jean-Charles
Mallarmé, intraduisible, même en français.
Jules Renard
La chose la plus ennuyeuse au monde ? Silence.
Justin Timberlake
Qu'il est des faits sans importance qui ne valent pas le bavardage, et d'autres dont les causes sont d'une telle profondeur qu'elles échappent à toute analyse, et qu'il convient pour être heureux de les laisser à leur mystère.
Lyonel Trouillot
Adolescente, elle pensait qu'il était trop tôt pour choisir jeune fille, elle s'était persuadée qu'il était trop tard pour changer.
Paulo Coelho
Je crois avoir enfin compris pourquoi les maigres suscitaient moins de familiarité : on ne peut pas leur taper sur le ventre.
Philippe Bouvard
La vigne me dit : - En mars me lie, - En mars me taille, - En mars, il faut qu'on me travaille !.
Proverbe Français
Je voudrais bien savoir quel plaisir prennent les puissances chrétiennes à recevoir tous les jours des nasardes sur le nez de leurs ambassadeurs dans le divan de Stamboul.
Voltaire