Citation de Albert Camus

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Le monde ne dit jamais qu'une chose, et il intéresse, puis il lasse. Mais un temps vient toujours où il conquiert à force de répéter et... - Albert Camus

Le monde ne dit jamais qu'une chose, et il intéresse, puis il lasse. Mais un temps vient toujours où il conquiert à force de répéter et touche le prix de sa persévérance.

Albert Camus

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Shakespeare n'a jamais existé. Toutes ses pièces ont été écrites par un inconnu qui portait le même nom que lui.

Alphonse Allais

L'âge auquel on partage tout est généralement l'âge où on n'a rien.

Alphonse Karr

L'amour, ça ne tombe pas du ciel. C'est comme une plante, ça se développe. Les histoires d'amour à l'eau de rose, c'est bon pour le cinéma.

Belva Plain

Pas une personne ne chante comme une autre. On peut comparer la voix aux empreintes digitales.

Björk

La vraie prière est une fatigue immense.

Dino Buzzati

Certes, il ne faut affirmer qu'en toute certitude. Il y a loin de la certitude à la conjecture.

Eschyle

Bohémiens, vous avez emporté tous les enfants du monde.

Georges Limbour

Responsable mais pas coupable.

Georgina Dufoix

Toute sa joie disparut en une seconde avec sa confiance en lui et sa foi dans l'avenir. C'était fini, tout était fini, il ne ferait rien il ne serait rien il se sentait vide, incapable, inutile, condamné.

Guy de Maupassant

Il me semble, ma femme, que tu veux accaparer monsieur, dit en riant le gros et grand banquier.

Honoré de Balzac

Ce qui est important, ce n'est, ni d'être optimiste, ni pessimiste, mais d'être déterminé.

Jean Monnet

Un vrai chagrin d'amour c'est conduire avec les essuie-glaces même quand il fait beau.

Patrick Sébastien

On peut aisément pardonner à l'enfant qui a peur de l'obscurité ; la vraie tragédie de la vie, c'est lorsque les hommes ont peur de la lumière.

Platon

Nous avons connu des jours meilleurs.

William Shakespeare

Ma mère n'adorait rien tant que m'insulter ; elle proférait à mon égard des insanités terribles que les adultes réservent généralement aux adultes. (...) Quand elle m'abandonnait enfin à ma classe, à mes camarades, à ma maîtresse, ma mère continuait de grouiller dans ma tête, à la façon d'un mille-pattes.

Yann Moix