Le corps et l'âme sont des vues prises du même objet à l'aide de méthodes différentes, des abstractions faites par notre esprit d'un être unique.
Alexis Carrel
Défaite : déconfiture et pas de pot.
Anonyme
Du fond de l'abîme, je t'invoque, ô Eternel !
Bible
L'habitude est indispensable à la création. C'est la deuxième nature de l'acteur.
Constantin Stanislavski
Les gens peuvent parfois prendre plaisir à des choses dont ils savent pertinemment qu'elles ne servent à rien.
Elif Shafak
Je suppose que, latiniste, ce notaire en avait quelque peu restitué le sens, là où les abréviations et les lettres effacées rendaient difficile le déchiffrement.
Henri Bosco
La musique, le plus sensuel des arts pour les âmes amoureuses, fut le truchement de leurs idées, et ils prenaient plaisir à répéter une même phrase en épanchant la passion dans ces belles nappes de sons où leurs âmes vibraient sans obstacle.
Honoré de Balzac
Vous, les Soviétiques... - Cette belle ville de Léningrad...
Jacques Chirac
Jamais absent n'est trouvé innocent.
Proverbe Espagnol
A bon emprunteur, bon éconduiseur.
Proverbe Français
Vous ne serez jamais stylé si vous ne prenez pas de risques.
Rihanna
L'intelligence doit vivifier l'action ; sans elle, l'action est vaine. Mais sans l'action, comme l'intelligence est stérile !
Roger Martin du Gard
Le théâtre est né de l'Eglise. Elle ne lui pardonnera jamais. Jalousie de métier.
Sacha Guitry
Quelle aurait été ma vie sur le champ de cendre de nos amours brûlées ? Dans cet éphémère, je préfère la noirceur à la griserie. J'aurais pu récupérer l'aile Madame. Au lieu de ça, j'en ai désormais deux : deux ailes pour reprendre mon envol.
Valérie Trierweiler
L'amour survient quand tous les sentiments humains sont déjà revenus.
Varlam Chalamov
Lancer un lynchage médiatique est plus facile que de faire décoller un buzz positif. Elle prétend qu'elle sait faire les deux, mais l'époque plébiscite la brutalité. Celui qui défonce est celui qu'on écoute – il faut toujours prendre un pseudonyme mâle pour malmener quelqu'un. Le seul son qui apaise les forcenés qui hantent les couloirs du Web, c'est celui du maton qui broie les os d'un codétenu.
Virginie Despentes