Citation de Alfred de Musset

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Tu es jeune et vivante, et tu es belle, et tu m'oublieras. Tu guériras du mal que je t'ai fait, si tu peux le pardonner.... - Alfred de Musset

Tu es jeune et vivante, et tu es belle, et tu m'oublieras. Tu guériras du mal que je t'ai fait, si tu peux le pardonner.

Alfred de Musset

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Semaine épouvantable : pas un seul sondage d'opinion. Tant pis, nous essaierons de deviner tout seuls nos propres intentions.

André Frossard

J'avais décidé d'être artiste, pas vendeuse de films ni de pièces de théâtre.

Anémone

Les corps des morts c'est comme des écorces vides. Des trucs qu'on abandonne ici pour pouvoir partir ailleurs, plus léger.

Barbara Constantine

Adieu le temps qui si bon a été - Par seul amour.

Clément Marot

La modeste et douce bienveillance est une vertu qui donne plus d'amis que la richesse et plus de crédit que le pouvoir.

Comtesse de Ségur

Prends le temps de fêter ta victoire, mais n'invite pas ton adversaire à partager ta gloire.

Daniel Desbiens

Le seul moyen de supporter l'existence, c'est de s'étourdir dans la littérature comme dans une orgie perpétuelle. Le vin de l'Art cause une longue ivresse et il est inépuisable. C'est de penser à soi qui rend malheureux.

Gustave Flaubert

La mode, c'est ce qui se démode.

Jean Cocteau

J'allonge son cadavre sur le plancher du wagon, et c'est comme si je déposai ma propre vie passée, tous les souvenirs qui me relient encore au monde d'autrefois.

Jorge Semprún

De toutes les villes de France, Lyon est la mieux organisée contre la poésie.

Marcel Achard

Le lecteur d'un poème l'illustre forcément. Il boit à la source. Ce soir, sa voix a un autre son, la chevelure qu'il aime s'aère ou s'alourdit.

Paul Éluard

La chèvre broute là où elle est attachée.

Proverbe Camerounais

Règle ta bouche sur ta bourse.

Proverbe Espagnol

Il y avait, près de la serre, un emplacement aménagé pour le tennis.

Valery Larbaud

On est fait prisonnier par l'âme d'une femme. Par sa chair aussi. Quelquefois plus encore par la chair que par l'âme. L'âme est l'amante ; la chair est la maîtresse.

Victor Hugo