Le nouvel Européen, surtout s'il habite en France, a d'abord besoin d'un bain de vérité.
Alfred Fabre-Luce
On ne connaît personne sinon par l'amitié.
Augustin d'Hippone
Plus que l'art, plus que la littérature, la musique est universellement accessible.
Billy Joel
Je me préoccupe de la cruauté. Je suis particulièrement sensible aux souffrances et aux mauvais traitements infligés aux enfants. Ce n'est pas autobiographique - mes parents étaient de bonnes personnes et j'ai eu une enfance normale. C'est simplement que mes souvenirs d'émotions puissantes, que ce soit la peur ou le bonheur, viennent de l'enfance. D'ailleurs la bonté m'ennuie.
Claude Miller
Je suis un insatisfait du mot espoir, j'essaie de ne pas faire entrer la nostalgie dans mon système nerveux.
Erri De Luca
La prétendue légèreté des femmes vient de ce qu'elles ont peur d'être abandonnées ; elles se précipitent dans la honte par crainte de l'outrage.
Germaine de Staël
L'amour aura toujours plus d'esprit à lui seul que tout le monde.
Honoré de Balzac
Ces maudits savants torturent les animaux dans leurs laboratoires au nom de ce qu'ils appellent "le savoir", tout comme les Romains le faisaient au nom de ce qu'ils appelaient "le plaisir".
John Cowper Powys
Ce sont les événements qui vous renvoient à votre judéité.
Marceline Loridan-Ivens
Bien que quadragénaire, il est en jeans.
Margaret Drabble
La création ne serait-elle pas toujours engendrée par le nécessaire recommencement, ce "savoir mourir" et ce "re-naître" ?
Michaël Lévinas
L'idéologie nazie a beaucoup contribué à discréditer les idées d'eugénisme et d'amélioration de la race ; il a fallu plusieurs décennies pour y revenir.
Michel Houellebecq
Si on ne prend pas le temps de regarder, on n'arrive jamais à rien voir.
Paul Auster
Ni le pharmacien ni le médecin ne peuvent guérir le mal d'amour.
Proverbe Corses
Je crois que le désir de connaître et de redire l'histoire des temps passés est engendré par notre amour-propre.
Ugo Foscolo
Ô peuples, détrônez l'échafaud !... Lève-toi, sainte émeute de la vie contre la mort !
Victor Hugo