Le chemin accroche, envoûte, enchante… On n'a pas envie de retourner à Saint-Jacques, mais de retourner sur le chemin. On se retrouve dans un univers spécial, où les rapports entre les gens sont différents, où tout le monde marche à 4 km/h sur des sentiers parallèles à la vie normale, se tutoie, s'appelle par son prénom, parce qu'on appartient tous à la même classe sociale qui est "pèlerin".