Citation de Alphonse Boudard

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Ils se passionnent ces vieux pour des bricoles, un quart de rouge, quelques mégots... ils se chamaillent, se filent des coups de ca... - Alphonse Boudard

Ils se passionnent ces vieux pour des bricoles, un quart de rouge, quelques mégots... ils se chamaillent, se filent des coups de canne, à ce qu'il paraît, pour des histoires encore d'amour puisque c'est mixte l'établissement.

Alphonse Boudard

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Il était doux de croire, même à l'enfer.

Anatole France

Le plus beau souvenir ne m'apparaît que comme une épave du bonheur.

André Gide

Nature se dit, au sens premier, de la génération de ce qui croit, comme si on allongeait, en la prolongeant, la voyelle y de Physis.

Aristote

Comme le Cobra, votre coup doit être sentit avant d'être vue.

Bruce Lee

Quand l'expérience infirme l'idée préconçue, l'expérimentateur doit rejeter ou modifier son idée.

Claude Bernard

Il y a beaucoup moins de choses sur terre que nous le fait croire notre philosophie.

Francis Picabia

L'ennui, araignée silencieuse, filait sa toile dans l'ombre à tous les coins de son coeur.

Gustave Flaubert

Pas question de me mettre à poil et de tourner des scènes de cul.

Jean-Luc Lahaye

Le roman, c'est la clef des chambres interdites de notre maison. Les prophètes qui annoncent un monde sans romans pour demain ou après-demain imaginent-ils ce que cela serait, un monde sans romans ? Je les en défie bien.

Louis Aragon

Les symptômes de la fatigue et de la paresse sont les mêmes.

Noël-Noël

Il l'avait répudiée parce qu'il fallait que la femme de César fût non seulement nette de tout acte déshonnête, mais aussi de tout soupçon.

Plutarque

Il fait un mauvais temps comme moi.

Sivi le poète

O volupté calme et profonde - Des amours qui sont nés sans pleurs, - Volupté saine comme une onde - Qui chante sur un lit de fleurs.

Sully Prudhomme

Pourquoi donc nos désirs, nos volontés, nos affections sont-ils si loin de nous, si nous sommes condamnés à ne jamais les suivre !

Victor Hugo

Une révolution est un retour du factice au réel.

Victor Hugo