Citation de Alphonse Daudet

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Quand je vois arriver la nuit, j'en ai les sueurs qui me prennent, comme l'âne de Capitou quand il voyait venir le bât.... - Alphonse Daudet

Quand je vois arriver la nuit, j'en ai les sueurs qui me prennent, comme l'âne de Capitou quand il voyait venir le bât.

Alphonse Daudet

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Je suis allé au cinéma deux fois avec Emmanuel qui ne comprend pas toujours ce qui se passe sur l'écran. Il faut alors lui donner des explications.

Albert Camus

La richesse est dans la différence.

Albert Jacquard

La pire chose que vous puissiez faire à une femme est de la priver d'un grief.

B. Nichols

Je compare ma mère aux piliers d'une maison. Sans elle, tout s'écroule.

Cheb Mami

Choisir la vie de tueur en série demandait une rigueur hors du commun et un sens de l'anticipation surhumain.

Claire Favan

Croyez-le, si voulez ; si ne voulez, allez y voir.

François Rabelais

Une force de direction constante, qui est à l'âme ce que la pesanteur est au corps, assure la cohésion du groupe en inclinant dans un même temps les volontés individuelles.

Henri Bergson

Sur tous autres brilloient d'ardeur de combatre les jeunes gentilz hommes et chevaliers romains.

Jacques Amyot

Quand on est un peu frileux, le fond de l'air effraie.

Marc Hillman

Les médecins ne se contentent point d'avoir la maladie en gouvernement, ils rendent la santé malade, pour garder qu'on ne puisse en aucune saison échapper leur autorité.

Michel de Montaigne

Le tonnerre... c'est une affaire entre le diable et le bon Dieu.

Pierre Gougaud

Si bien que les hommes fussent payés il leur restait le chagrin d'être une matière en jeu dans une grande spéculation. Ils se révoltaient contre l'affairisme.

Pierre Hamp

Qui se hâte de juger se repentira bientôt.

Publilius Syrus

Je me sens comme un esclave, et d'une manière comme un artiste, parce que je dois m'inspirer tous les jours, de tout et de tout le monde...

Sonia Rykiel

J'ai besoin de toi pour donner du vertige à mes rêves.

Yves Simon