Ah ! laisse refleurir encor - Ces lueurs d'arrière-saison ! - Le soir d'été qui s'évapore - Laisse une pourpre à l'horizon. - Oui, meurs en brûlant, ô mon âme, - Sur ton bûcher d'illusions, - Comme l'astre éteignant sa flamme - S'ensevelit dans ses rayons !