Citation de Alphonse Karr

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L'amour est la fleur de l'âme qui doit s'effeuiller au vent pour faire place aux fruits qui mûrissent lentement.... - Alphonse Karr

L'amour est la fleur de l'âme qui doit s'effeuiller au vent pour faire place aux fruits qui mûrissent lentement.

Alphonse Karr

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Tout passe et se succède. Moi seul je demeure.

Anatole France

Jeune encore, intelligent, très conscient de l'effet qu'il veut produire, et de celui qu'il produit.

André Gide

La vérité est comme le meilleur coup aux échecs : elle existe, mais il faut la chercher.

Arturo Pérez-Reverte

Une jouissance perpétuelle cesse d'être une jouissance.

Baal Shem Tov

J'ai la tête dans les nuages mais j'ai les pieds sur terre.

Céline Dion

À toujours attendre demain pour commencer à vivre, on finit par se retrouver après-demain et l'on s'aperçoit que vivre se conjugue désormais au passé.

François Cavanna

Les médecins les plus dangereux sont ceux qui, comédiens nés, imitent le médecin né avec un art consommé d'illusion.

Friedrich Nietzsche

Je n'appelle pas gaieté ce qui excite le rire, mais un certain charme, un air agréable qu'on peut donner à toutes sortes de sujets, même les plus sérieux.

Jean de La Fontaine

La mer est aussi profonde dans le calme que dans la tempête.

John Donne

Les livres ne ressemblent-ils pas aux chemins dont la longueur ne se mesure pas au nombre de pas qu'ils nous obligent à faire, mais à l'intérêt ou à l'ennui de la pensée, pendant qu'on les fait.

Jules Barbey d'Aurevilly

Je suis pour le mariage homosexuel. Je ne vois pas pourquoi on devrait épargner quelqu'un parce qu'il est homo !

Michel Galabru

Les temps du passé ont des noms de défaillance : imparfait, passé composé.

Pascal Bonafoux

L'odeur des pommes est douloureuse. C'est celle d'une vie plus forte, d'une lenteur qu'on ne mérite plus.

Philippe Delerm

L'état d'esprit d'un homme qui prend une assurance sur la vie n'est pas tellement différent de celui d'un homme qui signe son testament : les pensées de morts sont inévitables.

Truman Capote

J'ai fait dans ma jeunesse quatre ans de mathématiques. Mon professeur, M. Lefebvre de Courcy, me demandait un jour : Eh bien, Monsieur, que pensez-vous des X et des Y ? - Je lui ai répondu : c'est bas de plafond.

Victor Hugo