L'héritier vient après l'avare, comme la pluie vient après la sécheresse.
Alphonse Karr
Le téléphone, livré aux mains démoniaques de la bien-aimée qui n'appelle pas, devient un instrument de torture.
Alain de Botton
La croyance est le parfum de la vie et la parure de la jeunesse ; malheur à ceux qui n'ont pas cru ! ceux-là n'ont pas aimé ; ceux-là mourront sans avoir vécu !
Amédée Achard
La vie ça s'apprend, la musique ça se jour, on peut imiter un orage ou changer de personnage mais nul ne serait dire mais nul ne saurai faire une pluie, un ruisseau.
Anonyme
On ne tue pas le désir sans tuer la vie.
Claude Mettra
La jeunesse écoute les conseils de l'âge mûr. Elle a une confiance illimitée en elle-même.
Comte de Lautréamont
Baiser. Dire embrasser, plus décent. Doux larcin. Le baiser se dépose sur le front d'une jeune fille, la joue d'une maman, la main d'une jolie femme, le cou d'un enfant, les lèvres d'une maîtresse.
Gustave Flaubert
Les actrices n'ont pas de mari. Elles ont quelqu'un qui s'occupe d'elles.
Margaret Anglin
Les princes, dit l'abbé de Mongault, s'ennuient parce qu'on les élève pour ne s'ennuyer jamais. Toujours de nouveaux amusements. Il faut leur apprendre à s'ennuyer quelquefois, pour être gais dans la suite.
Montesquieu
Lorsqu'on veut changer les moeurs et les manières, il ne faut pas les changer par les lois.
L'imagination imite. C'est l'esprit critique qui crée.
Oscar Wilde
Il n'est pas nécessaire d'être intelligent tout le temps Il suffit de l'être juste au bon moment Einstein, par exemple, il lui a suffi d'être malin pour trouver E=MC² mais en dehors de ça, ce n'était pas indispensable.
Philippe Geluck
Charles de Gaulle fut élevé dans l'amour de la patrie, le respect du drapeau, la dévotion à Jeanne d'Arc et la foi en Dieu sans qui l'oiseau qui trille, le ruisseau qui chante et le cancer qui ronge n'existeraient pas.
Pierre Desproges
La souris est maîtresse dans son trou.
Proverbe Écossais
La foudre épargne ceux qui dorment.
Proverbe Français
La liberté naquit de la parole, elle fut chant dès son premier éveil et nul ne put jamais la museler.
Robert Sabatier