Citation de Aménémopé

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Ne trempe pas ton pinceau dans l'encre pour blesser un homme. - Le doigt du scribe est comparable au bec de l'ibis, prends soin de ne pas... - Aménémopé

Ne trempe pas ton pinceau dans l'encre pour blesser un homme. - Le doigt du scribe est comparable au bec de l'ibis, prends soin de ne pas le laisser dévier.

Aménémopé

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La méditation est un effacement, un silence, une ouverture, donc une acceptation, un non-conflit.

Arnaud Desjardins

Du passé heureux nous ne pouvons conserver que le souvenir, c'est-à-dire, le parfum du verre.

Azorin

... la vie absurde qui remue ses oreilles d'âne.

Blaise Cendrars

Le flot de larmes la soulevait, devant la misère sacrée des vaincus.

Emile Zola

Ingrate envers les biens passés, la maxime disant Regarde la fin d'une longue vie.

Épicure

Il y a des gens chez lesquels la simple certitude de les pouvoir satisfaire fait naître des besoins spontanés.

Georges Courteline

Les peuples voisins, doulx et gracieux, les receurent amiablement.

Jacques Amyot

Quand je croise un bossu, je me voûte légèrement, par délicatesse.

José Artur

Les souvenirs sont du vent, ils inventent les nuages.

Jules Supervielle

Il y assurément de l'indicible. Il se montre, c'est le Mystique.

Ludwig Wittgenstein

La relation amoureuse n'exclut pas la solitude. Si nous nous sentons bien avec nous-même, et qu'il nous est possible d'agir indépendamment, alors nous pouvons véritablement fonctionner à l'intérieur d'un couple. Deux personnes autonomes peuvent bât

Patricia Fry

Tout art est un souvenir de choses séculaires, de choses sombres, dont les fragments subsistent chez l'artiste.

Paul Klee

Ce serait cependant une belle chose à laquelle je n'ose croire, que de passer la vie l'un près de l'autre, hypnotisés dans nos rêves : votre rêve patriotique, notre rêve humanitaire et notre rêve scientifique.

Pierre Curie

Quand on déboulonne une statue, il faut garder le piédestal ; cela peut toujours servir.

Stanislaw Jerzy Lec

Adieu donc, mon ami. Enterrons, chacun de notre côté, en silence, ce qui était déjà mort en vous et ce que votre lettre tue en moi.

Victor Hugo