Citation de Amos Oz

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La dérision est peut-être un rempart contre la solitude. En effet, les moqueurs veulent un public, et celui qui en est la victime est toujou... - Amos Oz

La dérision est peut-être un rempart contre la solitude. En effet, les moqueurs veulent un public, et celui qui en est la victime est toujours seul.

Amos Oz

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J'étais extrêmement sensible à l'habit, et souffrais beaucoup d'être toujours hideusement fagoté.

André Gide

Inquiéter, tel est mon rôle.

André Gide

Il n'y a pas de plus belle pensée, que celle que l'on fait partager.

Anonyme

Vous avez dit, tel soir, des paroles si belles - Que sans doute les fleurs qui se penchaient vers vous, - Soudain nous ont aimés et que l'une d'entre elles, - Pour nous toucher tous deux, tomba sur nos genoux.

Emile Verhaeren

Cette façon enfin, si remarquable chez un chrétien, de porter sa croix, mais en sautoir.

François Mauriac

Par égalité, chacun comprend qu'il ne vaut pas moins que son voisin, mais que son voisin est loin de le valoir.

George Mikes

Tu vas devoir comprendre que rien n'arrive par hasard. C'est à toi d'en trouver les raisons, d'en tirer les leçons, et de les laisser te guider là où tu es censé aller.

Glenn Lee Beck

Il est des heures graves dans l'histoire d'un peuple où sa sauvegarde tient toute dans sa capacité de discerner les menaces qu'on lui cache.

Jacques Chirac

C'était un garçon solitaire, désadapté, paresseux et vaniteux.

Jean-Paul Sartre

Les tragédies des autres sont toujours d'une banalité désespérante.

Oscar Wilde

Nierez-vous qu'il y ait des choses anesthésiques ? Des arbres qui saoulent ..., des filles qui paralysent, des ciels qui coupent la parole ?

Paul Valéry

Il faut oser dire la vérité aux pouvoirs. C'est le travail des journalistes, des intellectuels, des écrivains.

Russell Banks

Les timbaliers étaient passés.

Victor Hugo

Remercier toujours votre infirmière. Parfois, ils sont les seules entre vous et un corbillard.

Warren Beatty

Notre vrai malheur, pourtant, N'est pas ce que les ans nous volent, Mais ce qu'ils laissent en partant.

William Wordsworth