Citation de Anatole France

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O peur, peur auguste et maternelle, peur sainte et salutaire, pénètre en moi, afin que j'évite ce qui pourrait me nuire.... - Anatole France

O peur, peur auguste et maternelle, peur sainte et salutaire, pénètre en moi, afin que j'évite ce qui pourrait me nuire.

Anatole France

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Ne gaspille jamais ni le vin du Curé, ni le pain du Boulanger.

Benjamin Franklin

Je ne vais pas mal. Mais rassurez-vous : un jour, je ne manquerai pas de mourir !

Charles de Gaulle

Point de musique véritable qui ne nous fasse palper le temps.

Emil Cioran

Jamais en dehors de la justice nul ne trouva le bonheur ; mais sur l'équité l'homme peut fonder l'espoir d'éviter sa ruine.

Euripide

N'oublie pas de savourer le goût de la vie

François Garagnon

Notre histoire est telle que tout à coup, des gens ordinaires sont confrontés à des décisions majeures d'une manière à laquelle les gens ordinaires ne sont en général pas confrontés.

J. M. Coetzee

L'étoile polaire, comme l'expérience, ne guide l'homme que le soir, et se lève lorsqu'il va se coucher.

Jean Antoine Petit-Senn

Je ne tiens pas pour sage celui qui ne veut ajouter foi aux merveilles de ce monde comme sont les fées.

Jean d'Arras

Explorer le champ des possibles en histoire, c'est poser du même coup la plus sévère question philosophique - à vrai dire, la seule : celle de savoir si l'histoire des hommes a un sens.

Jean-Louis Curtis

Le Christ est mort pour nos péchés. Nous devons donc en commettre un de temps en temps. Sinon, il serait mort pour rien.

Jules Feiffer

Très vite dans ma vie il a été trop tard ; à dix-huit ans il était déjà trop tard.

Marguerite Duras

Il n'est rien en somme dont l'homme ne se cache aussi totalement que de la masturbation. Notre jeunesse pourtant se développe autour et le nombre d'hommes et de femmes qui s'y adonnent, jusqu'au déclin de leurs désirs, est prodigieux.

Maurice Sachs

Sadique : personnage tellement cruel qu'il est capable de refuser de frapper un masochiste.

Philippe Bouvard

Ce que je suis n'est qu'une préparation à ce que je serai.

Simon Vinkenoog

L'été : un éblouissement comme est la neige, Celle qui vient légère et ne dure pas, Et rien de nous n'en trouble la lumière D'eau qui s'est condensée puis s'évapore.

Yves Bonnefoy