Citation de André Baillon

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Elle se trouvait dans une grande salle avec d'autres femmes comme elle couchées dans un lit, chacune son poupon dans une berce.... - André Baillon

Elle se trouvait dans une grande salle avec d'autres femmes comme elle couchées dans un lit, chacune son poupon dans une berce.

André Baillon

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Les mots jouent, sur la pensée, le même rôle que la lune sur les marées.

Armand Gatti

Qui vole un boeuf est vachement musclé !

Chaval

En novembre 1938, il y a eu un pogrom - que nous avons appelé la Nuit de cristal. Ce jour-là, nous avons donné l'assaut. Enfin, un tour de chauffe quoi.

Edgar Hilsenrath

Autonomie ou intégration ? Eh bien les deux routes demeurent ouvertes. De Gaulle s'arrête au carrefour et il attend.

François Mauriac

Certains critiques ont tenté de me classer parmi les surréalistes, mais je ne me considère pas comme telle. En fait, j'ignore si mes tableaux sont surréalistes ou pas, mais je sais qu'ils sont l'expression la plus franche de moi-même.

Frida Kahlo

Il n'y a pas de vrai bonheur dans l'égoïsme.

George Sand

Le coeur des mères se glisse derrière les lois des hommes.

Jovette Bernier

C'est être bien avancé dans la science de la vie que de savoir souffrir.

Madame de Maintenon

Les nuits sont faites pour qu'on puisse rejouer les choses.

Madeleine Chapsal

Le travail consiste en une tâche que l'on est obligé d'accomplir, alors que le plaisir consiste en une occupation à laquelle on n'est pas obligé de se livrer.

Mark Twain

Si vous tendez l'autre joue, que cela soit mieux pour reconnaître et assommer celui qui veut en profiter.

Natalie Clifford Barney

On se plaint de ce que l'on voudrait avoir. Drôle de mentalité ! Se contenter, ce n'est pas péjoratif. Revenir au bonheur de ce que l'on a, c'est un savoir vivre.

Olivier de Kersauson

Adolescente, elle pensait qu'il était trop tôt pour choisir jeune fille, elle s'était persuadée qu'il était trop tard pour changer.

Paulo Coelho

Je suis assis et je lis un poète. Il y a beaucoup de gens dans la salle, mais on ne les sent pas. Ils sont dans les livres. Parfois, ils remuent entre les pages, comme des gens qui dorment et se retournent entre deux rêves.

Rainer Maria Rilke

Ce que je redoute le plus, je crois, c'est la mort de l'imagination. Quand le ciel, dehors, se contente d'être rose, et les toits des maisons noirs : cet esprit photographique qui, paradoxalement, dit la vérité, mais la vérité vaine, sur le monde.

Sylvia Plath