Citation de André Breton

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J'ai entendu dire dans ma jeunesse que l'odeur du pain chaud est insupportable aux malades mais je répète que les fleurs sentent l'encr... - André Breton

J'ai entendu dire dans ma jeunesse que l'odeur du pain chaud est insupportable aux malades mais je répète que les fleurs sentent l'encre d'imprimerie.

André Breton

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Chacun apprend à penser en même temps qu'il apprend à parler.

Alain

L'absence de finalité donnée à la vie est devenue une condition de l'action.

André Malraux

Quand l'amour grandit en toi, la beauté fait de même. Car l'amour est la beauté de l'âme.

Augustin d'Hippone

Tes yeux sont tellement bleus A tant toucher les cieux.

Charles de Leusse

Le rhume de cerveau ne s'attrape que dans la plus profonde intimité.

Georges Feydeau

Souviens-toi toujours de ce proverbe : Chacun est le fils de ses oeuvres. A partir de ce moment, ton sort est entre tes mains ; ton avenir sera ce que tu le feras toi-même.

Hendrik Conscience

Hors ceste recontre, il n'y eut pas un Byzantin mis à mort par justice, ny confisqué ou banny.

Jacques Amyot

Puisque je t'aime tant - Il faut que je te baise - Il faut, vin amoureux, - Que tu me baises aussi.

Jean Le Houx

Je me sers des ailes que vous m'avez données pour m'élever à vous.

Joseph Joubert

Il y a des moments où j'ai envie de mourir, Alors, la mort, ça m'est égal.

Jules Renard

Ils coulent ensemble, leurs bouches se trouvent. L'océan ne peut rien contre eux, ils s'embrassent pour l'éternité, ils partagent leur oxygène, ils s'en asphyxieront sans plus jamais rien respirer d'autre. Ils mourront ainsi. De la plus belle des morts que deux amants aient pu rêver.

Michel Bussi

Aimer, c'est se placer au coeur des choses.

Paul Morand

Critiquer, c'est avoir recours, c'est employer les idées des autres - et c'est souvent en faire un bien mauvais usage. Et puis, s'en étant inspiré, c'est par la suite en vivre. Ne commencez donc pas par être un parasite.

Sacha Guitry

Celui qui sert une révolution laboure la mer.

Simón Bolívar

Il est des heures vides, creuses, qui portent en elles le destin.

Stefan Zweig