Citation de André Gide

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Ce jeu de ballon m'a plus amusé que je n'eusse cru qu'il était encore possible, amusé comme un enfant et comme un dieu, et d'autant plus... - André Gide

Ce jeu de ballon m'a plus amusé que je n'eusse cru qu'il était encore possible, amusé comme un enfant et comme un dieu, et d'autant plus que je ne m'y sentais pas malhabile.

André Gide

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La raison est ce qui effraie le plus chez un fou.

Anatole France

La richesse des costumes et l'éclat des décors étouffent le drame qui ne veut pour parure que la grandeur de l'action et la vérité des caractères.

Anatole France

Crée un chemin pour la venue des jours positifs.

Bob Marley

Le concept d'intelligence est aussi abstrait que celui d'amour.

Daniel Tammet

Certains soirs, dit-on, elle si gaie, si agissante, tombait à un grand accablement.

Emile Zola

Ce qu'il y a de plus odieux dans l'argent, c'est qu'il confère même des talents.

Fiodor Dostoïevski

Je meurs chaque nuit pour ressusciter chaque matin.

Georges Bernanos

Les champions de la finance sont comme les perles d'un collier - quand l'une d'elles tombe, les autres suivent.

Henrik Ibsen

C'est la vie, elle est préférable avec ses blessures et ses douleurs, aux noires ténèbres du dégoût, au poison du mépris, au néant de l'abdication, à cette mort du coeur qui s'appelle l'indifférence.

Honoré de Balzac

Antimachus fut si despit et si marry qu'il effacea ce qu'il en avoit escript.

Jacques Amyot

Ce n'est pas parce que les autres sont morts que notre affection pour eux s'affaiblit, c'est parce que nous mourrons nous-mêmes.

Marcel Proust

Vous ne pouvez pas vivre sans illusions, même si vous devez vous battre pour eux.

Marlene Dietrich

Malheureux le roi qui n'a qu'une tête !

Montesquieu

Je suis une lycéenne normale, avec les préoccupations qu'ont la plupart des filles de mon âge, les études, la danse, les garçons, la famille, et pas forcément dans cet ordre-là...

Pierre Bottero

Il faut que vienne le temps de l'évidence. Dieu doit nous être montré comme deux et deux font quatre.

René Barjavel