Citation de André Gide

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Les plus belles oeuvres des hommes sont obstinément douloureuses. Que serait le récit du bonheur ? Rien, que ce qui le prépare, puis... - André Gide

Les plus belles oeuvres des hommes sont obstinément douloureuses. Que serait le récit du bonheur ? Rien, que ce qui le prépare, puis ce qui le détruit, ne se raconte.

André Gide

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Le meilleur mari qu'une femme puisse avoir, c'est un archéologue. Plus elle devient vieille, et plus il s'intéresse à elle.

Agatha Christie

Ciel : Lieu de délices que l'on dit être le Paradis et d'où nous arrivent aussi la pluie, la foudre, la grêle et les bombes.

Albert Brie

Rien n'est plus capable d'inspirer du courage à une femme que l'intrépidité d'un homme qu'elle aime.

Antoine François Prévost

La réconciliation avec nos ennemis n'est qu'un désir de rendre notre condition meilleure, une lassitude de la guerre, et une crainte de quelque mauvais événement.

François de La Rochefoucauld

Diogène : Je cherche un homme... Retire-toi de mon soleil.

Gustave Flaubert

On verra clairement un jour que le triomphe est la défaite !

Henrik Ibsen

Le ministre disait à la radio : roulez prudemment. Il aurait mieux fait de le dire à l'autoradio.

Jean-Marie Gourio

Scandale à la synagogue : le rabbin adultère avait un fils cachér

Marc Escayrol

Elle chante comme les oiseaux, mais avec des mots.

Mathias Malzieu

La haine est une cruelle marinade : elle donne à la viande une saveur de déchet.

Philippe Claudel

Il faut vivre à Rome selon les coutumes romaines.

Proverbe Français

Il s'ensuit que dans tout homme qui parle l'absence de l'autre, du féminin se déclare : cet homme qui attend et qui en souffre, est miraculeusement féminisé.

Roland Barthes

On ne vit jamais seul. La solitude est une illusion. Le désespoir, un leurre.

Thierry Cohen

Elle avait toujours entendu dire que c'était le contraire qui advenait. On baisait d'abord sur la table de la cuisine et on finissait par le faire au lit et dans le noir.

Véronique Ovaldé

La barrière la plus immuable de la nature se situe entre les pensées d'un homme et celle d'un autre.

William James