Si nous versons des larmes pour les petites choses, il est des douleurs trop grandes pour pleurer.
André Maurois
Mieux vaut rater un baiser que baiser un raté.
Anonyme
La vie vaut-elle d'être vécue ? L'amour vaut-il qu'on soit cocu ? Je pose ces deux questions Auxquelles personne ne répond.
Boris Vian
Le progrès avance en permanence grâce à l'expérience des autres.
Bruno Peyron
Ha, bouche que tant je désire : - Dictes Nenny en me baisant.
Clément Marot
La Nature n'est belle que pour qui sait la voir, preuve que tout dépend du subjectif.
Gustave Flaubert
C'est drôle, franchement, hein, la mémoire ? C'est quelque chose de bizarre. C'est comme si tu entassais dans un tiroir un tas de trucs inutiles. Alors que les choses importantes, tu les oublies au fur et à mesure.
Haruki Murakami
Il a bien plus de noblesse à tuer un ennemi d'un coup d'épée proprement asséné, que de le réduire à l'état de bête.
Jack London
Comme toute comparaison originale doit forcément, à la longue, se banaliser, n'en jamais faire.
Jules Renard
Ces mortels ennemis, sur qui l'on avait eu l'avantage, et qui semblaient abattus et vaincus, commencent à se relever.
Louis Bourdaloue
Le théâtre, s'il ne s'englue pas dans l'esthétique, a toujours été par excellence l'art de la crise.
Michel Deutsch
Le libéralisme économique, c'est l'extension du domaine de la lutte, son extension à tous les âges de la vie et à toutes les classes de la société. De même, le libéralisme sexuel, c'est l'extension du domaine de la lutte, son extension à tous les âges de la vie et à toutes les classes de la société.
Michel Houellebecq
Sachez écouter, et soyez sûr que le silence produit souvent le même effet que la science.
Napoléon Bonaparte
Peut-être que c'est seulement quand les gens sont morts que nous pouvons montrer en toute sécurité combien nous les aimons. Nous savons alors qu'ils ne risquent plus d'exploiter nos sentiments.
P. D. James
Ne retiens pas la récompense de l'homme laborieux : garde-toi d'opprimer le pauvre.
Phocylide de Milet
Toujours l'homme en sa nuit trahi par ses veilleurs !
Victor Hugo