Citation de André Suarès

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Si l'on regarde au fond de ce solitaire, sous une triple cuirasse de froideur indulgente, d'ordre poussé jusqu'aux minuties, et de poli... - André Suarès

Si l'on regarde au fond de ce solitaire, sous une triple cuirasse de froideur indulgente, d'ordre poussé jusqu'aux minuties, et de politesse, il y a, d'abord, l'amour ardent de la vie, et l'instinct de la domination.

André Suarès

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Le souci de liberté et d'indépendance ne se conçoit que chez un être qui vit encore d'espoir.

Albert Camus

Le temps qui passe apporte une touche comique à ce qui naguère était dramatique.

Albert Espinosa

L'amour est une vraie religion dans laquelle les femmes sont superstitieuses ; les hommes robustes des théistes ; les vieillards, des athées.

André Grétry

Je suis un grand vieux romantique.

Colin Farrell

La tactique, c'est l'art de se faire demander comme une grâce ce que l'on brûle d'offrir.

Daniel Darc

J'observe ce que j'écris de mes sentiments et me contente du brouillon.

Denis Heudré

La littérature ayant jusqu'ici magnifié l'immobilité pensive, l'extase et le sommeil, nous voulons exalter le mouvement agressif, l'insomnie fiévreuse, le pas gymnastique, le saut périlleux, la gifle et le coup de poing.

Filippo Tommaso Marinetti

De deux choses l'une : ou la parole vient à bout de l'érotisme, ou l'érotisme viendra à bout de la parole.

Georges Bataille

Que si le créateur trouve une joie si parfaite à mourir pour sa créature, quel contentement doit éprouver la créature de mourir pour son créateur !

Jacques-Bénigne Bossuet

Je crois que l'écriture doit être hyperréaliste car l'Italie est un pays où il n'y a plus de journalisme d'investigation.

Massimo Carlotto

Je ne crois pas au génie, seulement au dur travail.

Michel Petrucciani

L'homme affairé ne saurait être sage.

Proverbe Juifs

La bouche ne reste pas ouverte, sans avaler quelque chose.

Proverbe Turc

Le travail est l'aliment des âmes nobles.

Sénèque

La chrysalide est l'image du vieillard. Il végète, il est engourdi, mais il vivra ! et c'est pendant ce sommeil et cette impassibilité passagère que se forment les ailes qui le porteront à l'immortalité.

Sophie Swetchine